samedi 29 avril 2023

Black Sword Hack - Les Tueurs du Dieu Sanglant

dans
Les Tueurs du Dieu Sanglant

Nous avons quitté le désert gris. Nous arrivons au village de « Rouille » surplombé par une citadelle en brique rouge.

Il y a dix jours nous avons quitté le bateau volant sur les conseils du demi-cyborg. A force de question, il nous explique que nous sommes arrivés à la tour il y a un an avec un « prêtre » nommé Narvas. Il est sorti de la tour avant nous et après nous avoir cherché, s’en est allé.

Il nous conseille de traverser le désert jusqu'à la ville pour faire réparer la clef d’orichalque. 


Arrivés au bout de nos rations, épuisés nous nous sommes évanouis. Nous nous sommes réveillés dans une tente au bons soins d’une hôtesse de la société Carst Brom et son compagnon tout en blancheur et maigreur.

Elle est à la recherche d’un livre secret et redoutable. Elle souhaite qu’on lui ramène certaines page du livre qui ont été trouvées par un capitaine mercenaire Rachkmoor Melioc qui s’en est servi pour lever une armée de mercenaire « Les Tueurs du Dieu Sanglant »

50 p.o. d’acompte + 200 avec les pages ou 100 si les pages sont détruites en fin de mission.


Nous voilà donc à « Rouille » en fin d’après-midi.

Des enfants nous accueillent souhaitant nous suivre dans la citadelle, nous prenant pour des mercenaires.

Direction l’auberge reconnaissable seulement à sa pauvre enseigne.

Un vieux à une table, une planche sur 4 jattes sert de comptoir. Le vieux qui pelait oignons et légumes se lèvent et vient à notre rencontre. Svën commande boissons, repas, chambres et questions.

Nous nous sustentons.


La citadelle - qui était abandonnée - est investie par les mercenaires depuis environ 4 mois. J’aborde le fait de pénétrer la place par quelques portes dérobées. Je paie l’information 50 p.o.. Il nous indique une solution et nous conseille de payer un guide pour trouver l’entrée de la rivière conduisant au puits qui abreuve la citadelle.

La nuit est sombre et la citadelle très sombre.

On va se coucher. Je fais un faux bonhomme couché et m’allonge dans un coin sombre de la chambre à même le sol. Pas confiance dans un lit. C’est un truc à se faire tuer ça.

Le lendemain nous ourdissons notre pénétration dans la place forte. Mais tout d’abord, le guide !

L’aubergiste nous ramène un gars du crue, borgne qui peut nous conduire à la source mais avant ça nous passons acheter une corde et un grappin.

Nous prenons un repas à l’auberge avec Gort, notre guide, puis nous partons à sa suite jusqu’à un trou dans le sol à 20 mn de marche.

Il nous conduit sous terre. Nous passons de boyaux en boyaux. Nous rampons pendant 30 mn jusqu’à une ultime chatière bien contraignante dans laquelle je suis pas bien, mais pas bien… pendant 10m puis  ça s’élargit de façon agréable.

30 mn plus tard, le trou aboutit à une rivière souterraine avec une petite berge naturelle. Encore 30 mn de marche dans la flotte et le puits sera visible.

100 m plus loin, un trou dans le plafond… Le fond du puits où nous attendons que la nuit tombe.

Gabrielle fixe le crochet et la corde à une flèche et l’envoie par le trou du puits vers le ciel. On rapatrie la corde jusqu’à ce que le crochet se bloque dans la maçonnerie au dessus de nous. La muette monte en éclaireur !? Sûr qu’elle pourra nous alerter en cas de problème !


Dans la basse cour, Gabrielle repère 4 gus qui lui tournent le dos, proche d’un gong. Elle nous préviens par signe de la situation. Je monte, sors et me planque en me rapprochant des adversaires. Svën suit le mouvement.

Gabrielle remarque que les 4 pélugres n’ont pas bougé d’un cil depuis un moment anormalement long. Svën se dirige vers l’escalier le plus proche. Je dirige mon attention vers les deux gardes qui n’ont pas bougé d’un iota. Je me rapproche d’eux dans les ombres.

Gabrielle passe dans le dos des 4 gardes pour monter l’escalier en face d’elle.

C’est des espèces de Golgoth tout en armures et armes zinzolin mais totalement immobile. Je traverse la cour vers un escalier qui descend, au nez et à la barbe des deux gardiens qui ne bougent pas d’un poil.

Je fais signe à Gabrielle sur les remparts que je vais prendre l’escalier. Elle me répond par des doigts d’honneur et des attitudes moqueuses. Sûr qu’elle souffre du syndrome muette de la Tourette.

Je descend l’escalier plongé dans le noir et sans aucune torche à ma disposition, je remonte. Je longe le mur comme une ombre et pénètre par la porte métallique dans la tour. J’attends mes collègues. Svën me rejoint suivi par Gabrielle qui bifurque vers l’escalier qui descend, dans un barouf pas possible.

Nous voilà un peu coincés dans le vestibule. Deux portes. La porte de gauche amène à l’intérieur de la tour et derrière on entend un peu du bruit.

La porte s’ouvre sur un gars en train de cuisiner. Un escalier monte à l’étage. Il est un peu fat et est occupé à couper des morceaux de barbac. Une marmite vient d’être mise sur le feu. Didier s’approche discrètement dans le dos du gars, et se cogne dans le pied de la table. Il a sa lame en main et le gars un hachoir, surpris d’être dérangé. Je décide donc, de l’attaquer au flan. Je le blesse, il tente de me hacher mais j'esquive.

Svën s’en mèle et essaye de le maîtriser. Je tente de raisonner le cuistot, en vain. Du coup, notre barbare l’esquiche. Je lui donne un coup de rouleau à pâtisserie dans la gueule. Il hurle l’alarme. Svën rate le brisage de nuque mais je lui ouvre la gorge d’un coup de Shakram.

Svën va voir du côté porte d’entrée pour apercevoir les deux gardes s’approcher. Il barre les deux portes du vestibule.

A suivre

* Toutes les images ont été générées par l'IA - Lexica.art

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