vendredi 24 novembre 2017

Star Trek Atlantis - Entrée n°3

L'Attaque des Clones du Club des Cinq

Journal de bord
Entrée n°3

Équipier 4e classe T'Rain
Sécurité - quart Béta
Date stellaire 22 Juillet 2155

Docteur Eugène Eckard
Nous passons la palissade et pénétrons dans un village en bois, habité par des clones de vingt-cinq à trente ans. Cinq camps comprenant exactement cinquante clones de vingt-cinq à trente ans, mon esprit ne peut manquer de remarquer que les multiples de cinq semblent la règle.
Les indigènes nous racontent une étrange histoire. Ce sont des "augmentés" créés par un certain Docteur Eugène Eckard pendant les années 1969. Donc avant les guerres eugéniques. Ils ont été conçus pour les conflits terriens mais ont un jour été téléportés subitement par quelque intelligence inconnue, séparant dans la stupeur la plus totale le professeur de ses créations. Ils incriminent pour cette action Garry Steven et Roberta Lincoln sortent de Némésis du Docteur. Sauf que, à la lumière de ma connaissance de la littérature de SF du vingtième siècle, ce sont deux personnages fictifs, ce qui remet en cause la  véracité des allégations de nos hôtes.
Du fait de leur atavisme génétique les empêchant de coopérer, ils se sont répartis en cinq clans qui se livrent à des conflits perpétuels.

Quand tout à coup, un hurlement dans la nuit et voilà le camp attaqué.
L'Équipier O'Brook nous enjoint de ne pas nous servir de nos armes de manière ostensible, ce à quoi je souscris volontiers tant que nous ne trouvons pas directement visés. Et justement, la palissade explose non loin de nous, et des clones montés sur des volatiles ciblent explicitement les femmes. Or seule l'Équipier Ducarde et moi-même correspondons à ce profil. Ce qui laisse d'intrigantes questions. Puisqu'ils n'ont pas de femmes parmi leur peuple, comment nous ont-ils reconnu ? Comment sont-ils déjà au courant de notre présence ? Est-ce que la tribu qui nous a accueilli à également remarqué que nous sommes des femelles ?...
Durant la bataille, l'Équipier Ducarde se fait prendre dans un filet. L'Équipier O'Brook est menacé d'être empalé par une lance et le Numéro Un Ch'tatrir s'esquive dans les buissons.
Je désarçonne un combattant puis me résous à faire feu sur un des kidnappeurs et l'assomme. Ils se replient, toujours en emportant l'Équipier Ducarde. L'Équipier O'Brook se jettent alors sur le filet pour l'alourdir et ainsi ralentir leur fuite alors que je continue de tirer sur les ravisseurs, les paralysant l'un après l'autre, épaulée par le Numéro Un. Nous finissons par mettre l'adversaire en déroute et récupérer l'Équipier Ducarde contusionnée, un peu sous le choc, mais indemne.
L'Équipier Ch'tatrir s'enflamme et donne des nombreux ordres fermes aux autochtones afin de prévenir toute seconde vague et, peut-être, également pour les divertir quand à nos armes à rayon.

Nos investigations auprès de la population du village ne donne rien de concluant. Pas de lien évident entre la matière exotique contenue dans le sol et les clones. Nous décidons alors d'aller au sommet de la colline afin de prendre quelques échantillons de cette mystérieuse matière. L'Équipier Polikovevitch, resté à la navette, nous rejoint avec des outils de prélèvement et un trichordeur scientifique. Ceci fait, le Numéro Un Ch'tatrir rend compte au Capitaine et nous recevons l'ordre de revenir à l'Atlantis.

Amiral Gardner
Après un quart de repos, nous recevons l'ordre de l'Amiral Gardner de reprendre la mission Sisyphe de sécurisation de la route commerciale Terre-Altaïr. Et assez surprenamment, l'Équipier O'Brook reçoit un message confidentiel de StarFleet, ce qui ne manque pas de faire tiquer notre Capitaine.
Une semaine plus tard, le Capitaine Adams semble être retombé dans les affres de l'ennui. Notre seule activité récente est le contrôle d'un cargo.
Finalement, quelques jours plus tard, le Capitaine et le Numéro Un désertent la passerelle et laisse l'Atlantis aux ordres de l'Équipier Ch'tatrir. C'est alors que nous recevons un appel de détresse de la planète Draylax. Le Numéro Ch'tatrir, désapointé, veut rendre compte au Capitaine mais celui-ci, ainsi que le Numéro Un, sont introuvables et plus étrangement inscannables, comme s'ils avaient quitté le vaisseau.
Il s'avère que Draylax est attaquée par des vaisseaux Klingons et l'Amirauté nous ordonne d'aller porter secours aux Draylaxiens sans attendre.

Draylaxien
Nous sortons d'hyperespace pour constater que trois croiseurs de classe D4 Klingon pilonnent la planète. Nous passons en alerte rouge et entrons en combat. Un vaisseau nous fait alors face, la bataille est ardue et met à rude épreuve le sang froid du Numéro Un Ch'tatrir qui en vient à me repousser de mon poste de tir pour en prendre les commandes sans plus de succès. Finalement nous en venons à bout et nous mettons en chasse d'un autre oiseaux de proie qui largue soudainement une capsule. Sur ce, le vaisseau Enterprise sort de l'hyperespace et rejoint le combat. Échouant à arrêter notre cible, le Numéro Un décide un demi-tour afin d'épauler l'Enterprise qui finalement s'en sort tout seul. Soudain trois autres croiseurs Klingon surgissent et, contre toute attente, attaquent le vaisseau que nous poursuivions et le détruisent puis disparaissent dans l'hyperespace.

La bataille de Draylax

Fin de l'Entrée n°3 du journal de bord


samedi 11 novembre 2017

Star Trek Atlantis - Entrée n°2

Journal de bord
Entrée n°2

Cadet 4e classe T'Rain
Sécurité - quart Béta
Date stellaire 21 Juillet 2155

Capitaine Adams
Le combat précédent a obligé notre vaisseau à un mois de réparations. La totalité de l'équipage a quitté définitivement le bord. Seuls les Équipiers O'Brook, Ducarde, Ch'tatrir et moi-même sommes restés affectés au NX-05 Atlantis sous le commandement du Capitaine Adams. En effet, nous avons été tous les quatre promus Équipiers et avons reçu une recommandation pour une prochaine montée en grade. Après un mois de vacation, nous voilà repartis pour une mission de surveillance et de sécurisation du couloir commercial Terre-Altaïr qui subit des attaques de pirates.
Le Capitaine semble être irrité par ces aller-retours continuels le long de cette voie spatiale. Pendant ce temps Coridon Prime est en plein chaos et connait une guerre civile. Un milliard de morts environ dû à l'attaque suicide du vaisseau non-identifié et la première chose que font les humains c'est s'entretuer ! Il semble que l'espèce humaine porte profondément en elle les germes de l'autodestruction.

L'équipage est au complet et comprend quatre-vingt-deux membres d'équipage. Nous sommes depuis une semaine en orbite autour d'Altaïr 6.
Alors que nous retournons vers la Terre, nous sortons de façon impromptu d'hyper-espace. Les senseurs ont repéré un objet inconnu. Le Numéro un Ch'tatrir, en charge de la passerelle pendant le repos du Capitaine, demande immédiatement à l'Équipier Poliakovevitch de pratiquer une analyse. Il s'agit d'un vaisseau à la dérive dont la balise d'identification n'émet pas, ce qui est très irrégulier. Je conseille au Numéro un la prudence, en demandant un relevé énergétique de l'appareil et un bioscan. Quatre-cent biosignaux apparaissent à bord du navire, humains et vulcains. Je repère également son numéro de série - 3702-D-39. J'effectue une recherche dans la base de données. Cette immatriculation correspond à un tanker neutronier, le Kobayashi Maru mais la structure du vaisseau n'est pas conforme et, après quelques autres recherches, apparait comme celle d'un vaisseau Klingon.


Je rends compte au Numéro un Ch'tatrir. Il décide d'en informer immédiatement le Capitaine qui rejoint la passerelle et nous demande de monter une expédition devant le mutisme du navire.
Le Numéro un Ch'tatrir et moi-même convenons d'amener l'Équiper médecin O'Brook, l'Équipier ingénieur Ducarde ainsi que l'Équipier scientifique Poliakovevitch, plus deux cadets de la sécurité sous mes ordres.
Nous décollons et notre navette s'arrime sans problème sur le Kobayashi Maru. Nous pénétrons sur nos gardes dans l'appareil et sommes rapidement accueillis par trois personnes accoutrés comme des pirates  du dix-huitième siècle terrien.


Ils sont amicaux et le capitaine Vance Kojiro nous explique qu'ils viennent de Coridon Prime en route pour le système Gamma Hydra pour y déposer des colons.
Le discours du capitaine est embrouillé et nous suspectons d'être en présence d'esclavagistes. D'après de les dires du capitaine Vance, le vaisseau souffre de nombreuses avaries qui ont obligé à couper la balise d'identification. Nous proposons notre aide tout en restant vigilants. Les Équipiers Ducarde et Poliakovevitch partent inspecter le bâtiment. L'Équipier O'Brook va à la rencontre des colons tandis que le Numéro un Ch'tatrir et moi-même demandons à voir les vulcains. Ces derniers rejoignent une mission scientifique chargée d'étudier la genèse du système stellaire Tésel Oroko dans la ceinture de Kuiper de Gamma Hydra.

Nos investigations ne montrent aucune preuve de pirateries de la part du Capitaine Vance et de son équipage. Juste un laisser-aller dangereux dans la maintenance de leur vaisseau. Le rapport de l'Équipier Ducarde est édifiant et statue que le Kobayashi Maru ne devrait pas être autorisé à voler. Notre Capitaine est prévenu et s'entretient en privé avec le capitaine Vance. Le Capitaine Adams décide que nous prenions quarante-huit heures pour réparer le navire en perdition afin qu'il puisse atteindre sa destination sans mettre l'équipage et les colons en grand danger.
Nous reprenons enfin notre route, mais nous sommes à nouveau éjecté de l'hyper-espace par une explosion alors que l'alarme retentit. L'Équipier Poliakovevitch nous apprend que nous avons traversé un rayon téléporteur d'une dimension colossale. Après quelques réglages, il est en mesure de dater le faisceau à cent-quatre-vingt-six ans et, prenant en compte la dérive galactique, qu'il pointe vers une planète de type Minshara. Nous en rejoignons l'orbite et quelques rapides scan nous apprennent le sous-sol contient un minerai étrange qui dérègle les senseurs.
Après quelques tours de la planète peu révélateur, le Capitaine décide de nous envoyer en expédition de reconnaissance. J'accompagne, ainsi que les cadets de la sécurité Miller et Davis, le Numéro un Ch'tatrir et les Équipiers Ducarde, O'Brook et Poliakovevitch.

Une fois posé, je repère un feu de camp et alors que nous nous approchons avec prudence, le cadet Davis tombe dans un piège hérissé de pieux. Malgré les tentatives de secours du médecin, il décède. Pendant ce temps, le cadet Miller déclenche un autre piège qui l'empale. Grièvement blessée, nous la rapatrions au plus vite en navette sur l'Atlantis, le téléporteur étant rendu inopérant par le minerai présent sur cette planète. Au moment de monter dans notre navette, j'aperçois, à un kilomètre environ, une structure de bois ressemblant à une palissade.

D'après mes analyses, ces pièges étaient destinés à la faune locale et il serait impropre de penser qu'ils nous étaient destinés.

Une fois sur le vaisseau le cadet Miller est rapidement prise en charge par l'infirmerie alors que le Capitaine nous convoque pour un débriefing. l'Équipier Polikovevitch scanne à nouveau la planète à la recherche de constructions primitives et repère ainsi cinq camps séparés d'environ cent kilomètres  et comprenant chacun cinquante indigènes exactement.

Les autochtones
Aux abords du plus central d'entre eux, se trouve une éminence naturelle regorgeant de l'étrange minerai. Le lendemain, après un nouveau briefing, le Capitaine Adams nous ordonne de prendre contact avec les autochtones tout en nous rappelant les précautions d'usage. Notre mission est d'obtenir des informations quant au gigantesque rayon téléporteur ainsi que la présence de l'élément exotique dans les sous-sols de la planète. Nous débarquons discrètement non loin du camp principal et nous nous y rendons à pieds. Arrivés à proximité de l'enceinte en bois, nous repérons un mirador sur lequel se trouve un humanoïde blond à la peau orangée. Nous nous approchons et à peine nous a-t-il aperçu que la palissade s'ouvre. Un pont amovible est déployé par les indigènes qui se révèlent être tous strictement identiques et parlant un anglais parfait. Ils semblent extrêmement surpris et excités alors même qu'ils reconnaissent en mes camarades des humains et font directement allusion à la Terre...

Fin du Journal de Bord n°2


lundi 6 novembre 2017

Star Trek Atlantis - Entrée n°1

Journal de bord
Entrée n°1

Cadet 4e classe T'Rain
Sécurité - quart Béta
Date stellaire 1er Juin 2155


J'ai été convoquée à San Francisco pour un départ anticipé d'un mois sur le NX-O5 Atlantis. Cela coïncide avec une attaque par un vaisseau inconnu, de la mine de dilitium de Coridon Prime, qui à fait plusieurs millions de mort.
Je me présente à 08:00. L'officier en charge nous apprend que nous rejoindrons le vaisseau par navette car les transporteurs ont un problème technique.
Nous décollons donc à 22:00.

Je fais le voyage avec trois autres cadets : une ingénieur - Morigane Ducarde, un médecin - Virgil O'Brook et un pilote Andorien - Shrethaos Ch'tatrir. Je dois signaler que lors de l'arrivée sur le NX-05 les commandes ont été donné au cadet Ch'tatrir qui a rayé la coque de notre navette et de notre vaisseau. Un fois posé, le briefing nous apprends que nous devons nous présenter à une réunion à 07:00 le lendemain, qu'entre temps nous devons prendre possession de nos quartiers et nous rendre à l'infirmerie pour la visite médicale obligatoire.

Le vaisseau comprend sept ponts. Les cabines sont doubles et je fais donc chambre conjointe avec le cadet ingénieur. Il semble que mêmes si la mixité est inscrite dans la volonté humaine, dans la réalité ce ne soit pas le cas, ce qui est probablement une sage décision pour une espèce aussi sujette à des émotions primaires. Après cette installation, je me rends immédiatement à l'infirmerie.

Amiral Gardner
Le lendemain la Commandant en Second accompagnée du Capitaine et Amiral Rasmüssen et étonnamment de l'Amiral Garchner en tenue d'apparat arrivent à 07:30. L'Amiral Rasmüssen semble avoir une curieuse réputation auprès des cadets humains. Certains exprime de l'amusement, d'autres de l'inquiétude. Un surnom se murmure : "La Pelle". Il faudra que je me renseigne à ce sujet.
L'Amiral Rasmûssen, Capitaine du vaisseau monte au pupitre et nous fais un petite discours de bienvenue et nous apprend que l'Atlantis embarque un équipage de vingt-cinq cadets. Ce qui est un équipage minimum pour un vaisseau de cette taille.

Puis je reçois mon affectation : quart Béta, section Sécurité. Mon officier étant du quart Alpha, je décide d'ajourner ma rencontre avec mon supérieur et disposant de temps libre, je pars avec le cadet Ch'tatrir dans une visite complète du vaisseau. Ils nous semblent essentiel de connaître par parfaitement le bâtiment sur lequel nous allons officier. Ma prochaine tâche sera de mémoriser les dossiers du personnel auquel j'ai accès. Le cadet Ch'atrir est plutôt agréable et mesuré pour un membre de sa race.

NX-05 - Plans

Le vaisseau sort doucement du Spatio-dock puis part en distorsion 1. Alors que nous parcourons les ponts, un énorme secousse ébranle tout. Une explosion a dû toucher un nacelle car le vaisseau gîte dangereusement. Je me mets à courir vers les nacelles, spontanément accompagné du cadet Ch'tatrit. Nous y retrouvons la cadet Ducarde qui nous explique avoir surpris un membre de l'équipage en train de poser un engin explosif dont il fut la première victime.

Soudain j'entends des tirs de phaser dans la salle des machines alors que la passerelle reste muette à nos appels. Le cadet Ch'tatrir part en compagnie de la cadet Ducarde et ramène des armes et des communicateurs. Puis, je m'introduis le plus discrètement possible dans la salle des machines et me fais tirer dessus avec l'intention claire de me désintégrer. Le lieutenant Cho, caché derrière des appareil, m'enjoint à la prudence. Je riposte et assomme durablement le cadet qui bricolait au tableau de commandes. Nous sécurisons le terroriste puis nous retraçons les faits avec le Lieutenant. Finalement, nous décidons avec le cadet Ch'tatrir de partir vers la passerelle. En chemin nous croisons le Capitaine Rasmüssen, le bras droit manquant, soutenu par le cadet O'Brook. Nous le rapatrions vers la salle des machines, seul endroit relativement sécurisé à ma connaissance, au moment où nous sommes pris par le rayon tracteur d'un oiseau de proie Klingon.


Nous établissons un plan : la cadette Ducarde va programmer les navettes pour attaquer le vaisseau Klingon alors que le cadet Ch'tatrir et moi-même partons reprendre la passerelle.
Sur le trajet nous récupérons l'Amiral Gardner et la cadette Moore. La passerelle est close mais je propose d'utiliser les conduits de maintenance et d'aération pour parvenir jusqu'au poste de pilotage. Le cadet Ch'tatrir est résolu à m'accompagner tandis que le cadet O'Brook propose de faire diversion avec un phaseur surchargé, placé dans l'ascenseur. Nous nous faufilons jusqu'à l'aplomb du siège du capitaine, la passerelle est plongée dans l'obscurité, le phaseur explose me permettant de repérer ma cible. Je saute dans la salle et maîtrise le traitre d'un tir assommant.
Par le hublot avant, nous assistons à l'attaque par les navettes du vaisseau Klingon. L'une d'elle semble esquiver intelligemment les tirs et se diriger avec précision vers les moteurs ennemis. Elle est en fait pilotée par le Capitaine Rasmüssen qui se sacrifie en faisant des dégâts importants à l'oiseau de proie.
L'Amiral Gardner arrive sur la passerelle et prend le commandement. L'Atlantis encaisse des tirs mais un autre vaisseau de la fédération appelé en renfort sort de l'hyperespace et oblige l'adversaire à fuir.
NX-05 Atlantis
Un échec pour les Klingons dont le but étaient de s'emparer de la technologie avancée détenue par la fédération. Ils avaient, pour ce faire, infiltrés des membres de leur race après avoir subit une modification de leur apparence.

Voilà qui risque de modifier la façon de contrôler la sécurité à bord des vaisseaux de la fédération.

Fin du journal de bord