samedi 24 juillet 2021

Le vol des dragons - D&D - épisode 7

Le Manoir de la Terreur

Le lendemain.

Devant notre petit déjeuner, nous étudions les pistes dont nous disposons.

  • le collier de perles explosives qui n'est pas un artefact que l'on trouve chez le premier vendeur de légumes venu.
  • Dalakar le gnome et ses relations avec le Réseau Noir et les Zentharims.
  • Le voleur Iluskien au demi visage brûlé lors de l'attentat.
  • Le détecteur de Min que nous a donné Nim. 
Dalakar
Renaer Neverember nous rejoint et nous apprend que l'espion gnome que son paternel avait engagé pour le surveiller, devait également récupérer la pierre de Golor, clef indispensable pour mettre la main sur le magot que le géniteur avait caché avant son exil.

Nous décidons de suivre, en premier lieu, la piste de l'androïde et baguenaudons dans le quartier suivant la direction supposée de la fuite du Vif-Acier après sont acte explosif.

Tout à coup, le parapluie du détecteur s'agite, mais je n'arrive pas à préciser correctement la direction. Je passe l'engin à Karl, peut-être saura-t-il mieux l'utiliser.

En effet, pointant l'engin de droite et de gauche, il nous conduit jusqu'à une grille ou apparaît au milieu d'un parc, une villa tenant plus du bunker que de la résidence secondaire d'agrément. Le tout ceinturé d'un mur de 3 mètres. C'est la résidence Gralhund, riche famille de marchands d'armes et de pourvoyeurs en mercenaires. Leur devise : " Nous regardons des 2 côtés."

Pendant que mes camarades surveillent la bâtisse, je trotte vers notre auberge pour voir si Renaer Neverember y est toujours afin d'avoir des renseignements supplémentaires sur cette famille de commerçants de la mort. Mais il est déjà reparti. J'en profite pour récupérer le collier de perles explosives sur les conseils du marchand. Je fais le chemin en sens inverse pour rejoindre ma troupe.

Pendant ce temps, Karl et Arnulf repère un garde Iluskien flanqué de deux cerbères qui passe et repasse dans le parc.

Renaer Neverember
Le marchand ayant besoin d'infos, je l'accompagne chez Neverember, laissant Arnulf en surveillance.

Repassant devant notre propriété, nous croisons Nulfnir, notre prêtre HuNain, dit l'ossuaire ambulant qui a enfin trouvé où poser ses os. Nous l'envoyons relever Arnulf qui lui expliquera la situation... ou pas.

Renaer s'avère, une nouvelle fois, être une source de renseignements de première main. La famille Gralhund est de sombre réputation car soupçonnée de longue date de faire des pactes impies avec les forces démoniaques afin d'assurer son sombre commerce. De plus, l'Iluskien mi-cuit a été vu en train de se réfugier chez eux.

Voilà, de quoi motiver une visite nocturne. Nous retournons auprès de l'autre moitié de notre quatuor, échangeons nos découvertes et convenons d'une ébauche de plan pour visiter la villa suspecte.

La nuit venue, nous grimpons sur le toit de l'écurie attenante au manoir pour descendre dans le jardin en déjouant la vigilance du garde dans sa ronde routinière.

Garde fantôme
Alors que mes 3 collègues commencent par fouiller les écuries, je reste à l'extérieur pour surveiller l'agent de sécurité Iluskien. Je constate, assez surprise, que ce dernier ainsi que ses molosses ne sont respectivement pas humain, ni canin,  puisque tous 3 flottent ostensiblement au dessus du sol.

Il finit, malheureusement, par repérer notre intrusion, et je me réfugie dans les écuries où nous les attendons de pieds fermes. À son arrivée, Nulfnir exhibe le symbole de son dieu et tente de repousser le mort, alors que j'enchante ma lame pour qu'elle puisse tailler dans l'éther. Mais il ne veut pas partir et m'attaque. Je me prends une patate de forain fantomatique qui arrache une partie de ma force de vie et de ma santé, et me fait bien mal au cul ! Chacun tente de le trancher ou, au moins, l'un de ses chiens, mais tout passe au travers. Et moi et ma lame enchantée, ben on est bien mal en point.

Le nain monté en graine, fait de nouveau appel à son dieu, espérant que celui-ci à fini sa pause café/clopes/caca et cette fois-ci, sa déité daigne lui répondre. Le spectre et ses compagnons canidés prennent jambes ou pattes à leurs cous en hurlant de voix d'outre-monde.

Vu le barouf produit, nous décidons de nous replier, mais sans hurler, avant l'arrivée de renforts probables et plus ou moins humains.

À suivre

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