Effraction au pavillon Belge
Dès qu’ils ont quitté le domicile d’Escher, nos héros, accompagnés de Makolé partent en direction de l’exposition universelle pour récupérer le tambour. Le site est très calme, la nuit est propice, et le service de sécurité est minimal voir dilettante. L’escadron étrange pénètre sans coup férir dans le pavillon belge protégé par un frêle cadenas qui cède sous la poigne métallique d’Ozie. Aucune alarme, pas de vigile, le tambour est vite trouvé grâce à Makolé.
Ce dernier s’empare de l’objet avec dévotion. Felix, faisant montre de réflexes que l’on attribue plutôt aux montent en l’air et autres escamoteurs réarrange les objets exposés pour ne pas laisser apparaître de manque et subtilise aussi le carton présentant le fameux tambour. La forfaiture est ainsi quasiment couverte. Seul un intermittent du spectacle qui de jour, mime la vie dans un village africain provoque une légère tension quand il sort, ensommeillé, pour aller nul ne sait où, et tout le monde s’en fout d’ailleurs !
Au plus profond de la psyché d’Escher
L’équipe décide, comme annoncé plus tôt à Mme Escher de retourner battre le tambour immédiatement. Celle- ci, surprise les laisse rentrer, et Makolé près d’Escher endormi et entouré de l’escadron étrange entame un rythme sur le tambour. Aux battements se mêlent bientôt d’autres sons, comme un brouhaha.
La voix d’Escher : « je ne consomme pas de drogue, mes rêves sont assez effrayants. »
Un grand blanc. Puis rouge cramoisi. Vaste toundra gelée, couleur ocre-rouge, un paysage martien. C’est le tableau d’Escher de l’exposition, mais sans l’insectoïde. Les héros ont la sensation étrange que la scène, aux limites du champ de vision, est rognée, inachevée...
Ils savent alors avec certitude qu’ils doivent aller chercher l’objet impossible d’Escher qui se trouve dans le cratère ou l’insectoïde est tombé. En arrivant au bord de l’énorme cratère ils se retrouvent dans un grand désert sous un ciel bleu, sans aucune transition, l’environnement martien a disparu.
Chacun éprouve la sensation que l’objet impossible d’Escher est un ruban de Moebius et qu’il se trouve au centre de ce désert tout à fait terrien, au cœur d’une tornade de sable. Au loin apparaissent des silhouettes humaines sur des animaux. Ce sont des bédouins chevauchant chameaux et ils fondent sur l’escadron étrange, cimeterres au clair, poussant des cris vindicatifs.
Les surhommes se préparent à la confrontation, Aymeric décide de ne pas se préoccuper des bédouins et de courir vers la tempête de sable. Félix tripote son scarabée, un homme à la peau parcheminée et bronzée, portant pagne et bibelots égyptiens apparaît à ses côtés, tout à fait interloqué. Felix tout aussi interloqué entame une conversation dans un sabir qui leur semble commun. Pendant ce temps, Albert Roche lance un éclair de barrage vers les cavaliers bédouins : l’un d’eux tombe à bas de son camélidé, sa chute semble décomposée, comme image par image, le chamelier apparaît dans diverses positions de sa chute, Albert Roche aperçoit aussi des rouages, puis tout se rassemble en un seul chamelier sur le sable, légèrement commotionné, alors que les autres bédouins continuent leur charge.
L’égyptien est en plein désarroi, il semble avoir tenté quelque chose qui n’a pas fonctionné, et il n’apprécie pas.
Aymeric tente de passer outre les guerriers du désert, mais un chamelier lui barre le passage sans faire mine de l’attaquer. Les autres foncent sur le reste du groupe.
Aymeric tombe en hébétude, perdu dans le kaléidoscope des ornementations de la couverture du chameau, il tente de résister à sa soudaine apathie.
Ozie se servant de son art martial ancestral, fracasse un bédouin qui tombe littéralement en morceaux ou apparaissent des rouages, avant de se reformer au sol.
Albert Roche continue ses attaques électriques, un autre chamelier tombe en morceaux, mais ceux-ci restent séparés avant de disparaître dans le sable du désert.
Félix, à la stupeur de l’égyptien (Amenosis donc) est capable d’utiliser seul son pouvoir de télékinésie, il crée une vague de sable pour submerger son adversaire. Amenosis est sabré par un bédouin, mais il est traversé sans dommage, son corps semblant fait de brume. Il hurle sa rage et son impuissance, sans doute, seul Félix pourrait le dire.
Aymeric échappe à l’attraction hypnotique des dessins de la couverture du chameau et se retrouve comme téléporté de l’autre côté de l’animal, libre de poursuivre sa route vers la tornade de sable.
Ozie travers d’un coup de poing bien asséné le chamelier qui semble fait de balsa soudainement. Il explose en milliers d’échardes qui sont toutes des reproductions du bédouin original, avant de disparaître dans le sable.
Albert Roche désarçonne le chamelier qui causa tant de souci à Aymeric.
Felix relance une vague de sable très impressionnante qui emporte au loin son adversaire.
Lorsque la vague s’amenuise, l’ennemi a disparu.
Felix subit une attaque et malgré ses efforts se retrouve avec une entaille sérieuse.
Aymeric reprend sa course vers la tempête et le ruban de Moebius. Même s’il n’a pas pu voler comme il pensait pouvoir le faire dans ce monde onirique, il parcourt tout de même en un instant la moitié de la distance. Il aperçoit une grande forme humanoïde, bras écartés, qui tournoie au centre de la tempête. L’humanoïde tient dans une main un ruban de Moebius. Ozie vole au secours de Felix et d’un coup de pied martial appuyé, éparpille le bédouin dans les airs, les morceaux devenant translucides avant de disparaître.
Albert Roche désarçonne un dernier bédouin qui se relève prestement, prêt à en découdre.
Félix, inventif, crée une colonne de sable ressemblant vaguement a un ver qui s’abat sur le dernier chamelier qui s’en trouve retardé dans ses intentions belliqueuses.
Alors que le combat sévit toujours, Aymeric arrive en deux pas- allez... deux et demi- au pied de la tempête. Il résiste bravement à son souffle puissant, s’encrant de toute ses forces dans le sable.
L’homme titanesque au centre de la tornade semble habillé tels certains surhommes terriens. Aymeric entame la conversation d’un « heho » sonore.
Sur le champ de bataille ; Ozie éclate le dernier bédouin du tranchant de la paluche, des gouttes de sangs jaillissent en multitudes de figures géométriques avant de toucher le sol. À l’endroit de l’impact de la main de l’androïde, une déchirure noire piquetée d’étoiles se referme lentement.
Au loin la tempête semble perdre de sa puissance à la mort du dernier bédouin. Albert Roche, Ozie et Félix se lancent à leur tour vers la tornade faiblissante. Felix veut désinvoquer Amenosis, mais cela ne marche pas, le pharaon, dépité est obligé de suivre comme un paysan.
Pendant ce temps, le surhomme de la tempête, portant une sorte de masque en céramique et une tenue moulante se jette du haut de ses trois mètres, poings serrés en avant sur le reporter du petit vingtième, tint.. Aymeric de Saint Sernin.
Ce dernier dégaine enfin son raygun, mais son tir passe à coté de sa cible, le rayon allant se diffracter dans la tempête. Aymeric a la vision fugace de rues de Bruxelles.
Le surhomme porte son coup de poing titanesque, Aymeric jette son foie sur la trajectoire et il choit dans le sable, assommé de douleur.
Albert Roche, Ozie et Félix parcourent la distance formidable les séparant du tourbillon de sable. Ils assistent donc à la peignée subie par leur comparse au chapeau colonial.
Le surhomme à la haute stature se dirige alors sur le groupe, avançant vers eux en tournoyant tel une toupie. Derrière lui, la tempête prend des allures de vent sableux anémié.
Fidèle à sa fée électricité, le premier soldat de France lance un éclair sur le tourniquet humain, celui-ci, atteint en pleine poitrine cesse de tournoyer et tombe le museau dans le sable.
Félix, produit un train de sable qui percute le Zébulon, l’enfouissant profondément en son cœur siliceux. Ne reste sur le sable chaud que le ruban de Moebius. Aymeric se relève suite au gnon encaissé, la bouche pleine de sable.Felix, fulgurant d’initiative, ramène à lui par télékinésie le ruban de Moebius.
La tempête se renforce alors, et de sableuse, devient aqueuse. Nos héros sont tout soudain sur le pont luxueux d’un paquebot agité par la houle et battu par des vagues énormes.
Le ciel est rougeoyant et zébré d’éclairs, le paquebot est poussé vers des récifs.
Les membres de l’escadron étrange ont la profonde conviction qu’ils doivent se rendre dans le poste de pilotage du paquebot pour y récupérer l’objet impossible d’Escher, « le cube de Necker » allons bon !
Aymeric, touché dans sa résolution par cette nouvelle quête à accomplir hurle « pourquoi ?!»
Mais il revient vite à la « réalité » du moment : une ligne de marins, tous identiques, et effectuant tous les mêmes mouvements s’approchent de l’équipe, barrant le chemin vers le poste d’équipage en brandissant leurs fusils.
Comme si cela ne suffisait pas, Aymeric jetant un œil sur ses arrières, déclenche la furie meurtrière de passagers auparavant occupés à paniquer à l’approche de la catastrophe récifienne.
Albert Roche réagit comme chaque fois face au danger, et sans réfléchir plus avant lance un éclair sur le marin le plus proche. Celui-ci est éjecté en arrière, et les deux marins les plus proche semble subir la même chose, avant de revenir à leur place.
Ozie crée une brèche devant lui, un sauvage coup de pied envoyant valdinguer le marin, ses deux comparses à proximité semble eux aussi tomber en arrière, avant de revenir à leur place.
Aymeric tout à fait guéri du coup de poing du désert sort son raygun et décide d’élargir une des brèches avec succès.
Felix, qui prend trop la confiance décide de pratiquer la télékinésie sans avoir recours à son alter ego, et il subit un cuisant échec, rien ne se passe !
L’éclair suivant d’Albert Roche se perd dans la tempête, cette tempête qui propulse le paquebot vers son destin fatal.
Alors que les passagers se rapprochent de l’équipe, les marins armés de fusils entrent au contact de Félix et Albert Roche, Felix subit un tir, Albert est protégé par son armure.
Ozie passe la vague des marins et continue sa course vers son objectif. Les marins ne s’intéressent plus du tout a lui. Aymeric fait de même puis quelques secondes plus tard, c’est au tour d’Albert.
Félix fait apparaître son alter ego au beau milieu de la mêlée. Ce dernier semble horrifié de se trouver au milieu d’une mer déchaînée. Deux marins tirent sur Félix Dufaux qui s’écroule comme une merde sur le pont du paquebot, Amenosis reste à ses coté, inutile.Les trois compagnons encore debout grimpent jusqu’au poste de pilotage. La visibilité est nulle à travers les hublots, les gouttes incessantes qui s’abattent dessus dessinent des formes géométriques improbables. Alors un tentacule se forme sur la surface du hublot et se propulse sur les héros. En arrière-plan on discerne une forme humanoïde luminescente dans la tempête.
Ozie fait des sushis du tentacule qui vole en éclat, ainsi que le hublot sur lequel il avait pris naissance. De l’autre côté, le surhomme en tenue bleu et rouge, et affublé d’une cape aussi courte que ridicule tend d’une manière paisible une offrande : le cube de Necker !
Aymeric récupère le cube et...
L’équipe au complet et en pleine forme se retrouve sur les remparts d’une grande citadelle d’architecture persane ou babylonienne. On entendrait presque Aymeric penser « Mais Pourquoi !?! » S’il n’y avait la rumeur de l’immense armée montant à l’assaut de l’énorme muraille. Derrière les créneaux, des archers jettent des regards interrogateurs aux héros, attendant visiblement un général, un meneur d’homme pour les diriger.
Nos héros ressentent la nécessité de récupérer un objet impossible d’Escher : le blivet, sorte de trident... à deux dents, qui se trouve dans la bibliothèque du château.
Felix et Albert restent sur le rempart pour diriger la défense : en bas l’armée est menée par un surhomme environné de flammes : Marek !
Ozie et Aymeric s’en vont chasser le blivet. Intuitivement ils situent la bibliothèque dans le palais central, dans cette immense cité ou des bâtiments d’architectures différentes se côtoient, mêlant diverses cultures. Aymeric, méfiant, marche en baissant le regard histoire de ne pas énerver quelqu’un et se concentre sur son trajet.
Sur le rempart colossal Félix invoque Amenosis qui de nouveau apparaît à côté de lui. A la vue de la citadelle et des armées, ce dernier est empli d’une joie meurtrière et religieuse, hurlant des imprécations telles que « des impies, massacrons-les ! » Felix sent qu’il tient ce qui ressemble le plus à un général et s’empresse de traduire les paroles du pharaon aux archers.
Albert Roche trouve tout de même que les défenses de la citadelle pourraient être perfectibles quand soudain, les archers encordés se jettent dans le vide, arrosent les ennemis de flèches avant d’être remontés par leurs camarades sur le rempart ! les ordres d’Amenosis semblent assez efficaces et la défense tient bon.
Aymeric et Ozie désormais vêtus de costumes d’apparats locaux semblent attendus par les habitants qui leur ouvrent les portes sur le chemin. Arrivé dans la bibliothèque, le blivet d’une taille imposante trône sur un piédestal de deux mètres de haut. Ozie saute alors sur Aymeric plutôt que sur le piédestal pour lui administrer une correction khalaripayatienne. Aymeric surpris constate que son ami automate est constitué des mêmes structures étranges et rouages que la créature rencontrée dans les rues de Bruxelles.
Heureusement Ozie semble moins puissant et efficace et Aymeric s’en sort. Sur la muraille les défenses tiennent bon, mais Marek est quasi insensible aux volées de flèches et est proche d’arriver au pieds du mur. Ce n’est pas du gout du premier soldat de France.
Mais avant qu’Albert Roche ne se jette dans la marave...
Aymeric, ne pouvant faire confiance au faux Ozie se jette sur le blivet pour l’empoigner....
Sensation étrange de tenir un membre métallique, comme ... le bras d’Ozie par exemple. Aymeric de Saint Sernin se retrouve alors allongé dans la chambre d’Escher, tenant la jambe mécanique d’Ozie, bien éveillé à côté de Makolé. Ses autres camarades endormis commencent à se réveiller, alors que dehors, dans une rue proche, des bruits d’objets brisés se prolongent et se transforment en un cri de douleur.
Escher se tient dans la pièce, il ne dessine plus, il semble très fatigué mais son regard est empli de surprise, de soulagement et de gratitude.
Sa femme, heureuse nous remercie chaleureusement avant de s’occuper de son mari qui est au bord de l’effondrement physique et nerveux.
Même si son état nécessite hospitalisation rapide, l’équipe lui pose quelques questions notamment le début de sa transe créatrice. Escher nous parle d’un certain Ludwig Minx, prestidigitateur qui lui avait parlé lors de son séjour en Italie de certaines visions qu’il avait eu. C’est à la suite de cette discussion qu’Escher a commencé ses dessins hallucinés.
Aymeric affirme que Ludwig Minx est un surhomme se faisant passer pour un prestidigitateur, au service de Mabuse. Il fut déclaré tué par ce même Mabuse il y a 3 ans, ce qui ne colle pas avec la rencontre avec Escher.
Enfin Makolé confirme qu’Escher est bien libéré de la « maladie » psychique et qu’Ozie, non humain, n’a jamais été envoyé dans le « rêve ». C’était donc la créature impossible qui avait pris la place d’Ozie !
Nos héros passent ensuite deux semaines de calme à Bruxelles. Charpentier affine ses démonstrations qui sont de plus en plus précises, et plus aucun incident étrange n’est rapporté sur les lieux de l’exposition ou en ville.
Le dernier incident, un grand flash situé dans le quartier de la galerie. Renseignements pris, seul le galeriste a subit un douloureux mal de tête au moment du flash, qui a eu lieu exactement au moment du sortir du rêve. Après une visite à l’antenne du C.I.D. pour rapport des évènements, Mr Gérard, unique représentant du C.I.D. Bruxellois donne à l’équipe plus d’infos sur Minx, maitre de l’illusion et de l’évasion : compagnon de Sulko, le dernier atlante (le plus puissant Übermensch de Mabuse) il serait mort il y a un an seulement en Allemagne. Mort... jusqu’à quand ?
Albert Roche, désireux de savoir de quoi il retourne avec dame Shani et ses accointances contre nature supposées avec les allemands décide d’enquêter mais fait chou blanc : la donzelle n’est plus sur les lieux de l’exposition, et ne semble plus être en ville non plus.
Albert Roche enrage.
Après un court séjour à l’hôpital pour se requinquer, Escher toujours aussi prolifique peint quatre toiles qu’il offre à l’escadron étrange : 3 représentent leurs aventures dans sa psyché.
Le dernier tableau représente une planète en feu (Druso ?) au centre d’un triangle dont les sommets sont des yeux, ainsi qu’un objet métallique crachant des flammes, comme un avion sans ailes, ou comme cet obus, dans le film de George Melies pour atteindre la lune !
Les jours traînent en longueur, Charpentier trouve que les autres merveilles technologiques présentées à l’exposition éclipsent la sienne, car il ne peut faire que des téléportations de courte portée, une attraction de fête foraine sans plus. Il a besoin de retourner à Paris pour replonger dans le travail pour faire des téléportations à grande distance.
Il donne l’exemple d’un certain Mr Dimanche qui, au pavillon suisse a fait démonstration de sa montre temporelle qui avance ou remonte dans le temps de quelques minutes.
Et puis un soir, un carton est apporté par un grouillot à nos héros, un certain Hercule Poirot, éminent détective souhaite les rencontrer.
Nos héros décident d’un commun accord qu’il est plus que temps de rentrer à Paris.
Le soir ils vont faire leurs adieux à Makolé qui confirme qu’un certain détective l’a un peu cuisiné sur le vol au pavillon belge, mais qu’il n’a pas parlé du tambour... mais visiblement il n’est pas sûr de ne pas en avoir trop dit quand même. Il est vraiment temps de fui... partir.
L’escadron étrange laisse tout de même un message pour le dénommé Poirot arguant que ce qui peut paraître un vol ne l’est pas forcement, et qu’en l’occurrence il faudrait plutôt voir l’affaire comme une ... restitution culturelle.
De retour à paris, Aymeric s’enquiert de la santé du voyageur temporel : si celui-ci semble aller de mieux en mieux, il réagit toujours de façon inquiétante sur certains sujets. S’il est content de voir les membres de l’équipe et s’il écoute avec attention le compte rendu des derniers évènements il ne semble pas avoir de réaction notable.
Après un compte rendu complet au C.I.D., dont Albert Roche devra expliquer la nécessité à Félix (Druso détruisant toute la planète, c’est ptet un peu gros pour quatre personnes fussent elles pleines de bonne volonté) s’ensuit un mois de vie normale pour nos héros, de repos, et sans doute d’ennui.Note : lors de sa dernière rencontre avec le voyageur, Aymeric a ressenti un trouble, un malaise bien qu’il n’ait pas pu le définir comme désagréable.
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