vendredi 1 novembre 2024

La Brigade Chimérique (Icons system) - Menace dans l’Étrange Cité

Les aventuriers pénètrent un bulle dans laquelle règne une atmosphère et sont conduits à travers les rues par le mérien. Ils croisent nombre d’êtres amphibies nus mais aussi quelques humains accoutrés de vêtements de diverses époques.



Ils sont conduits sur une place au milieu de laquelle trône un piédestal de 10 m sur 6, surmonté d’une colonne portant la météorite d’où semble émaner un fort champ magnétique. Se trouve également un temple ainsi qu’une gigantesque conque : le palais de Sargassim, reine de Bojador.

Elle les reçoit accompagnée d’un humain en blouse blanche élimée. Albert Roche et Aymeric de Saint Sernin se présentent et la reine qui leur avait parlé en anglais passe immédiatement au français. Sa majesté est torse nu avec une queue de poisson, image vivante de la femme-poisson et dégageant une sorte de charme érotique puissant qui met les aventuriers en émoi.

Les deux membres de l’Escadron Étrange indiquent la raison de leur venue ainsi que leurs inquiétudes quant aux Velléités des autres concurrents à la pêche à l’astéroïde.

La reine écoute attentivement mais avec clairement un manque de compréhension des raisonnements des terriens. René Deschamps, le scientifique humain qui l’accompagne, par contre, comprend de façon claire la situation. Il leur narre la façon dont, avec sa science et une chorale mystique de bojadoriens, il a pu repérer précisément l’astéroïde, le capturer dans l’espace et le ramener dans la cité. Ce dernier est vital pour Bojador puisqu’il assure la bulle protectrice alors que la météorite précédente montrait des signes d’affaiblissement certain. La bulle est vitale pour la respiration des humains ainsi que pour protéger la ville de menace de créatures des abysses.

L’entretien fini, un mérien les accompagne dans les quartiers qui leur ont été préparés.

Pendant ce temps, le Victoria enfin libéré de l’anémone géante arrive en vue de l’Étrange Cité sous-marine. M. Guy, Félix Dufaux et François de Vaucasson repèrent au loin l’inquiétante silhouette d’un submersible. Ozie demande alors au responsable du C.I.D. de le laisser avec Félix, équipé d’un scaphandre, aux abords de la ville pendant qu’il surveillera l’approche du nouveau venu.

Les deux compères franchissent la bulle sous le regard étonné des habitants, notamment surpris par l’apparence de l’automate. Ils s’approchent d’un mérien qui accepte de les conduire à la dirigeante.

Ils la rencontrent en présence de deux groupes. L’un humain dirigé par un marin portant dans le dos un harpon à répétition, Théo Sérem. L’autre composé de bojadoriens habillés, menés par un mérien albinos dont le faciès rappelle étrangement à Ozie l’ami du député d’extrème-droite qui proposait un loi sur les êtres artificiels sentients.

Prévenu, Aymeric de Saint Sernin et Albert Roche les rejoignent. Les retrouvailles sont de courte durée car une explosion proche secoue le palais-conque. Sortant précipitamment, ils découvrent un sous-marin arborant le crâne de Mabuze stationné au zénith de la ville et du météore et qui a vraisemblablement tiré des torpilles sur le temple qui se trouvait sur la place.

Du navire descendent des scaphandriers portant le logo du crâne qui pénètrent la bulle au bout de filins. Félix laisse sa place au Pharaon Blanc grâce à la magie de son scarabée. Il rompt par télékinésie les câbles, malheureusement les soldats allemands équipés de jets packs atterrissent dans les rues ou sur les toits.

Alors que Le Premier Soldat de France, la Vérité et le Pharaon Blanc commence la bataille à coup d’arc électrique, de rayon laser et de morceau de temple, Ozie file à une vitesse surhumaine vers le Pélican afin de coordonner une bataille subaquatique avec le Victoria contre le vaisseau ennemi.

Dans la ville, le combat fait rage, épaulé par Théo Sérem et son groupe mais gêné par les habitations et le labyrinthe des rues.

Arrivé à l’intérieur du submersible de l’institut du radium c’est la déconvenue car, contacté, M. Guy, visiblement dépassé par la situation, s’enfuit vers la surface à l’excuse de prendre de nouveaux ordres du Nyctalope.

À suivre

 

jeudi 29 août 2024

La Brigade Chimérique - Voyage en d'Étranges Abysses

Aymeric de Saint Sernin et Albert Roche embarque dans le Pélican de l’Institut du Radium tandis que Félix Dufaux et François de Vaucanson (Ozie) montent à bord du Victoria du C.I.D.




Dans le Pelican se trouvent les frères jumeaux Luissier (Georges et Louis), Jessica Jones et Émile Lagarde, créateur du Pélican.

Le Havre. Soleil couchant avec le Pélican barbotant sur ses flotteurs. Jessica fait ses au revoir à Aymeric.

Voyage en train pour Ozie, Félix et M. Guy. En gare du Havre nous retrouve un journaliste, Martin Duval, qui nous conduit au Victoria, un bathyscaphe en verre pour la plus grande part de sa structure, avec 2 bras articulés.

Le Pélican a une journée d’avance par rapport au Victoria.

Le Pélican suit la topologie du fond océanique, Émile voulant tester les capacités de son engin. Albert Roche est inquiet alors qu’Aymeric satisfait sa curiosité auprès de l’inventeur. Soudain, le fond de l’océan se met en mouvement et des cailloux chutent et bloque le Pélican. Un raie du lumière perce l’obscurité aquatique et la silhouette d’un sous-marin anguleux apparaît. Des ondes mystérieuses s’en échappent, le Pélican vibre et surtout, les gros rochers se soulèvent. Le sous-marin se pose en surplomb sur les bords du canyon. Le Pélican finit d’être dégagé et le sous-marin les prend en remorque sans enclencher un moteur. À l’intérieur du Pélican, les parois semblent magnétisés et les cadrans fous. Au bout d’une heure, tout redevient normal, les ondes éthériques cessent et le mystérieux sous-marin s’éloigne. Ainsi, ils ont gagné quelques heures d’avance.

Une autre série de canyon et l’Émile décide de raser le haut de la faille afin d’en étudier le fond. Quand tout à coup, une baudroie abyssale gigantesque remonte vers le Pélican. Un des Luissier s’écrit « une grotte » et Émile est tenté de s’y réfugier. Conseillé par Aymeric, le sous-marin volant se dirige vers l’eau libre. Ils effectuent alors un drift à 180° afin qu’Albert utilise une torpille. La baudroie est touchée et s’enfuit.

Pendant ce temps… dans le Victoria, Fernand Favre et Adolf Bedin, les mécanos de l’équipe s’affairent alors que Martin Duval prend des photos et tape la discute avec Félix. Soudain, un petit choc extérieur et les moteurs commencent à ralentir jusqu’à s’arrêter. Une vieille mine les a heurtés et maintenant y a une fuite dans l’engin. Félix se précipite pour aider Bedin à boucher le trou.

À l’intérieur du Pélican, un bruit dans la salle des moteurs et une perte de vitesse brutale. Les techniciens discutent de la courroie qui a lâché et cela demande de remonter à la surface pour pouvoir réparer. Un fois à nouveau sous l’eau, ils croisent un cachalot et son petit poursuivit par un mégalodon. Albert propose de les ignorer.

A bord du Victoria, M. Guy décide de passer par un canyon pour éviter un masse d’algues. Un éboulis bloque leur engin quand un sous-marin étrange et étranger vient les dégager grâce à de mystérieuses ondes qui parviennent même à ouvrir les algues sur son passage. Ozie tente de contacter le vaisseau mais ne reçoit qu'une brève réponse dans une langue incompréhensible, et non pas par la radio mais directement dans ses oreilles.

Le Pélican repère des lumières dans les abysses. Émile descend vers un fond de lumières jaunes, phosphorescentes et mouvantes éclairant un dédale maçonné. Contre l’avis d’Albert, le Pélican poursuit sa descente vers des algues lumineuses flottant mollement et des parois d’où s’ouvrent des habitations troglodytes. Malheureusement la largeur du canyon s’est rétrécie et Émile doit prendre du temps pour chercher un autre passage moins dangereux. Le scientifique finit par trouver une sortie.

Un signal apparaît sur le sonar du Victoria. Quelque choseroule sur le fond. Le sous-marin plonge pour aller voir. Sur un plaine roule un tank sur chenille avec deux coupoles en verre lorsque soudain une énorme anémone capture le sous-marin du C.I.D..

Le Pélican débouche sur une vaste étendue plate pour découvrir le Victoria aux prises avec une anémone de mer gargantuesque. Albert décide de dégommer le pied de l’animal à l’instant même où Ozie ordonne le tir d’une torpille dans son bec. Malheureusement les filaments de l’actinide se sont resserrés autour de l’engin du C.I.D. et dérive avec les restes de la bestiole.

4ème jour de voyage. Plus qu’un jour avant d’arriver sur zone. Sur le sonar du Pélican, un écho ! Émile ne peut, une nouvelle fois, résister  sa curiosité. Une base sous-marine semblant un oursin tout aplatit entourée de barrière. Derrière les hublots des ombres transparaissent. Alors qu’Albert impose à un Émile dont la curiosité pour ce nouveau mystère est à son apogée de continuer son chemin vers la météorite. Mais un courant violacée et lumineux emporte le Pélican comme sur une mer de nuage. À l’intérieur de cette nuée sous-marine est projeté des images fantomatiques d’humains, de sous-marins en combat, de bateaux et à l’intérieur du Pélican apparaît l’image violacée d’une femme aux mains palmées lancée dans un discours, ainsi qu’un sous-marinier apeuré… L’engin profite du courant pour gagner de la vitesse. Au bout d’une heure à peu près, le volume du courant nuageux violacé diminue et relâche l’appareil qui se retrouve ainsi proche du point de chute de l’aérolithe.

Le Victoria croise une pieuvre poursuivit par un mégalodon. Ozie convainc M. Guy d’intervenir. Une torpille touche le mégalodon qui lâche l’affaire alors que la pieuvre enserre le Victoria et l’amène de façon accéléré vers la zone de la météorite.

Au même moment le Pélican arrive sur site pour découvrir une ville sous-marine en bordure d’une fosse océanique où trône en son centre, sur un piédestal mécanique, la mystérieuse météorite. La ville est protégée d’un dôme où règne une atmosphère et où se déplace une population d’hommes (femmes) poissons. Albert repère parmi les Ichtiens quelques humains. Les aventuriers de l’Étrange s’approchent, les habitants les repèrent et leur font signent de stopper. Émile s’exécute alors qu’un habitant nage à leur rencontre et leur fait signe de se poser sur le fond. Une fois posé, le mérien leur fait des signes, Aymeric, Émile et Louis enfilent des scaphandres (sauf Albert qui n’en a pas besoin) et sortent de l’appareil. La créature leur fait comprendre de le suivre. Ils se dirigent vers la ville, pénètre la bulle, la pression change et ils peuvent enlever leur équipement. Le mérien leur dit « Bienvenue à Bojador ! ».


À suivre

samedi 6 juillet 2024

La Brigade Chimérique - Le Mystère de l’Étoile Étrange

Août 1935 - 1 mois après.




Aymeric de Saint Sernin revient de New York fiancé à Jessica Jones.

Le C.I.D. a remis en fonction Ozie. De l'instant où François de Vaucanson fut éteint par la Mante-Religieuse et le moment où il fut rallumé : aucun souvenir, mais parfois des sortes de flash mettant en scène une curieuse lumière rouge.

Un agent du C.I.D., M. Guy le ramène auprès de Félix Dufaux, le Pharaon Blanc et Albert Roche, le Premier Soldat de France.

La session parlementaire est suspendue en août et donc la proposition de l’extrême droite de rendre citoyen les automates n’a pas été résolue.

Ernest Esclangon de l’institut du Radium, officiant à l’observatoire du radium contacte Félix car il a des renseignements sur la source d’énergie animant Ozie. Il donne rendez-vous dans un petit estaminet proche du Palais du Luxembourg et de l’observatoire de Paris.

Voilà, l’Escadron Étrange à nouveau réuni, lorsqu’ils remarquent que tous les passants ont le nez en l’air. Dans les cieux, une sorte de lumière rouge se déplace lentement dans le firmament. Redescendant le nez, Ernest Esclangon apparaît dans leur champ de vision.

Petit homme barbu au profil sémite, il porte des lunettes comportant un dispositif lui bouchant les oreilles. Il vient à eux justement à propos de cette étrange étoile rouge qui aurait potentiellement des liens avec l’énergie alimentant François de Vaucanson.

Le poste de T.S.F. du troquet appelle les gens à rentrer chez eux d’urgence. Les gens paniquent. Ernest part vers l’observatoire suivit de près par l’Escadron. L’aérolite est entouré de flammes rouges et laisse apparaître une sorte de noyau.

Les voici en haut de l’observatoire. D’après Ernest, l’objet serait composé d’un noyau d’un genre très particulier de radium qui fut hypothèsè mais jamais observé.

Ernest se lance dans des calculs. Il met à disposition ses notes qui indiquent que le noyau aurait la taille de l’Arc de Triomphe.

L'astronome estime qu’il va s’écraser dans 1h entre la Tour Eiffel et les Champs Élysée mais globalement tout Paris va y passer.

Albert, Félix et Ozie foncent vers la zone avec la voiture d’Esclangon alors qu’Aymeric reste avec Ernest.

Dehors la chaleur fait éclater les fenêtres du véhicule et les pneus fondent sous l’effet de cette espèce de deuxième soleil. Dans les rues c’est le cahot automobile et piéton alors que les fenêtres des bâtiments se transforment en pluie de cristal.

Aymeric et Esrnest partent à pied vers la Seine.

L’équipée motorisée finit difficilement de rejoindre la Seine dont l’eau ne bout pas encore. Les membres de l’Escadron enjoignent les parisiens à sauter dans l’eau pour échapper aux ondes calorifiques émises par l’astrolite.

Tout à coup, la météorite tourne en angle droit, de façon stupéfiante, en direction de l’Atlantique. Ernest, médusé, repart avec Aymeric à l’observatoire.

L'astronome va dans son bureau pour observer avec une lunette annexe et déclare que l'objet celeste va s’abîmer dans l’Atlantique.

Ozie joint, via le téléphone d’un bistro, l’observatoire pour
vérifier la présence d’Aymeric. Il y est avec Ernest qui est plongé dans des calculs. Le reste de l’équipe les rejoint.

M. Guy arrive avec un stratogyre et nous demande d’aider les parisiens en détresse dans les rues. L’équipe oeuvre jusqu’au petit matin. Puis chacun va se reposer sauf François de Vaucanson qui se rend au C.I.D. pour faire un point.

Midi, rendez-vous au troquet où les discussions de comptoir vont bon train. La radio fait état de quelques morts et des centaines de blessés devant ce qu’elle appelle très finement l’Étoile mystérieuse.

Quand aux héros... un météore qui accélère puis change de direction serait peut-être un aéronef.

Quand un grand noir coiffé d’un turban les approc-he et leur remet une lettre de la part de son maître : le Sultan Tanga Kionga du sultanat de Moyo, petit pays coincé entre le Tanganyika et le Ruanda, ancienne colonie teutone. Le dictateur qui dirige le pays est un surhomme dont la peau est constituée d’un roche bleutée. Il les invite à un souper à 20h le jour même.

L’institut du Radium contacte les aventuriers de l’Étrange et leur propose de participer à une expédition sur l’aérolite. Direction l’Institut où ils sont introduit auprès d'Irène Joliot-Curie et d’un autre gars, dans la cour de l’institut, devant une sorte d’énorme avion équipé d’un flotteur sous la carlingue. Elle nous présente Émile Lagarde, inventeur de l’avion-bathyscaphe, le Pélican.

Le départ ne sera pas avant demain matin après les derniers préparatifs de l’engin.

Cela laisse le temps à l’équipe d’aller faire une visite au Sultan de Moyo. Mais avant cela, chaque aventurier retourne dans ses pénates afin de se préparer au voyage.

Sur ces entrefaites, M. Guy appelle Félix et leur donne rendez-vous au bistro de 2 mages à 18h30.

Ce dernier contacte par téléphone ses collègues sauf Aymeric qui ne répond pas. Du coup, Félix enfourche son vélo et se rend au hangar de la Vérité afin de l’informer du rendez-vous.

18h30, l’équipe rejoint M. Guy au lieu convenu. Il leur propose un contrat type pour s’occuper de l’affaire de l’étoile mystérieuse. Pas de question d’émoluments mais le Nyctalope met à leur disposition son sous-marin : le Victoria.

Puis ils se rendent à Pigalle, où l’adresse communiquée correspond à un cabaret. Un grand noir à l’entrée leur confirme que le Sultan les attend. Dedans, tenture de velours rouge et des murs décorés de peintures érotiques. Une fois introduit dans l’alcove, 5 noirs assis au sol entoure un géant de 2 mètres à la peau bleu. Il les accueille bruyamment alors que les 5 janissaires s’emparent de lance à pointe bleu et s’en vont. Alors qu’alentour des bruits de plaisir se font entendre, le Sultan fait entrer une panthère au dimension hors du commun dont le pelage noir semble aspirer la lumière.

Il souhaite engager les aventuriers afin de s’emparer de la météorite. Ils se mettent d’accord sur une étude de faisabilité pour un salaire d’ingénieur sur un mois. Le repas se passe agréablement.

Ils prennent congé et échafaude une stratégie à savoir prévenir le C.I.D. quand à la présence du sous-marin du Sultan au Havre afin qu’il s’en occupe alors que l’équipe se rendra sur place avec l’engin de l’institut.

Le lendemain 6h00, l’Escadron Étrange se retrouve devant les portes closes du C.I.D. où un planton les éconduits. Ozie finit par convaincre le factotum de joindre M. Guy.

Aymeric se rend à l’Institut du Radium afin de préparer tout le matériel nécessaire. Le reste de ses compagnons rencontre M. Guy et lui fournissent leurs informations. Il appelle le Nyctalope qui les rejoint et leur impose un choix définitif, soit travailler pour le C.I.D. et Gaston Doumergue qui veut médiatiser l’évènement, soit travailler pour l’institut du radium, comme s’ils étaient en concurrence voire ennemis. Albert Roche déchire son contrat et se rend à l’institut alors qu’Ozie, assez sidéré par la façon de penser humaine, et Félix choisissent malgré tout de rejoindre le Victoria au ordre du C.I.D.

À SUIVRE

samedi 11 mai 2024

La Brigade Chimérique - Rigor Mantis

Alors que le soir décline, voilà Ozie de l’autre côté du mur d’une superbe résidence avec une très jolie serre attenante. Une allée de gravier, visiblement empruntée par des véhicules, conduit à la bâtisse qui semble déserte.


L’automate informe ses collègues de la situation et pendant qu’ils grimpent le mur plus ou moins péniblement, il part en éclaireur vers le bâtiment. Il ne repère aucune lumière provenant de la maison. Des traces de voiture vont soit vers la maison soit vers la serre.


Félix et Albert semblent percevoir un discret filet de lumière et un léger bourdonnement en provenance de la serre. Il repère également quelques lumières sous la porte de la résidence.

L’Escadron étrange décide néanmoins de se diriger vers la serre. La porte est fermée, le sol est en bois et la lumière provient d’entre les lattes.

Ozie force la serrure le plus discrètement possible. L’endroit vrombit du vol d’un grand nombre d’insectes. Félix et Albert cherchent une trappe tandis qu’Aymeric et Ozie tentent d’observer à travers les lattes du parquet. Ne percevant rien, ils rejoignent leurs camarades qui ont trouvé un escalier. Ils descendent, éclairés par la torche d’Aymeric de Saint Sernin (La Vérité) jusqu’à une porte restée ouverte.

Ils débouchent sur une vaste pièce grossièrement aménagée, coupée en deux parties. S’y trouve 5 tables ensanglantées avec dessus des draps tachés et au sol des morceaux d’insectes géants découpés. Dans l’autre partie, ce qui ressemble à l’agrandisseur mais comportant de nouvelles parties. Il est relié à une cloche en verre dans laquelle est accroupie une forme insectoïde comme à l’étroit.

Albert hypothèse au nombre de tables qu’il risque d’y avoir encore deux hommes-insectes.

Aymeric prend une photo et à la lumière du flash, Félix, qui s’est rapproché de la cloche, découvre un insecte gigantesque de longues pattes recroquevillées sous elle. C’est une mante religieuse colossale. Un bruit de tintement se fait entendre…

Albert rejoint Ozie et se met à arracher les équipements reliés au canon sous l’œil circonspect d’Ozie. Ce dernier le met en garde contre les dégâts possiblement occasionnés à la machine. Il s’en carre l’oignon.

La Vérité observe la cloche enchâssée dans une rainure du sol. La cloche serait en fait une sphère en deux parties soudée par un joint.

Tout à coup, un claquement de trappe qui se referme et la cloche commence à s’ouvrir. Aymeric tire dans le plafond avec son raygun et prend un dernière photo.

La cloche finit de s’ouvrir et la mante se déplie terminant de fracasser le plafond et se dresse de ses 15 mètres à travers la serre.

L’Escadron étrange repart dans l’escalier, Ozie portant l'entomo-canon, pour se trouver devant un porte en fer fermée. La Vérité utilise sont arme sur l’obstacle qui commence à chauffer. Ils entendent des morceaux de construction finir de chuter dans un fracas de fin du monde.


Félix se laisse posséder par l'esprit d' Aménosis 3 en tripotant son scarabée.

La porte fond partiellement sur un cercle de 10 cm. Ozie pousse de toute ses forces. La porte grince mais ne cède pas encore. Un rire machiavélique se fait entendre et une voix enjoint sardoniquement les aventuriers du radium à se sortir les doigts du cul. L’automate s’acharne alors que le Pharaon blanc l’aide avec son pouvoir télékinésie. La trappe métallique de 5 cm d’épaisseur rend les armes et s’ouvre.

Alors que les héros sortent à l’air libre, ils voient l’énorme bestiole s’envoler vers Versailles alors que Vimon Herbert nargue les aventuriers.

Albert lance ses éclairs vers le scientifique. Aymeric tire sur la bestiole. Félix décroche mentalement une branche pour la projeter sur le fuyard.

Ozie analyse le canon qu’il a repris en main afin de voir s’il peut inverser le processus d’agrandissement mais sans la réserve de radium utilisée pour créer le monstre, difficile de conclure... Finalement, il part à la poursuite de l'insecte, chargé de l'appareil.

Le premier soldat de France électrocute enfin le vilain avant qu’il ne rejoigne la camionnette alors que deux malandrins chargent des choses dedans.

La mante disparaît derrière les toits proches. Albert grille l’un des sbires dont le crâne comporte une corne de scarabée. Il tombe alors que son comparse se prend une branche sur le groin et rejoint son collègue à terre.

La Vérité fait preuve de célérité et court à une vitesse extraordinaire à la suite de la mante. Albert se rue vers la camionnette pendant que Félix s’approche du corps du savant. Il l’empoigne et compte le mettre à l’arrière du véhicule où il découvre une fourmi à l’abdomen énorme et distendu d’où s’échappe un liquide poisseux. Après quelques hésitations, il jette le corps sur l’insecte et alors qu' Albert le presse de monter à ses côtés.

Ozie arrive en vue du parc de Versailles où se tient une nocturne avec plein de visiteurs qui se font mortellement bolosser par la bestiole.

Félix se faufile par l’arrière par dessus la fourmi et le savant inconscient. Albert appuie sur le champignon à travers le portail de la résidence, direction le parc de Versailles.

Le Pharaon blanc se rend compte que dans le ventre de la fourmi, deux mains semble pousser à l’intérieur et il entend « mon amour ! mon amour ! ».

La mante poursuit son carnage involontaire et se tourne vers le château de Versailles. Elle commence à y grimper alors que la Vérité l’attaque au raygun.

Ozie analyse à nouveau le canon afin de voir s’il peut se servir de son alimentation interne pour utiliser le canon sur la bestiole.

Blessée par La Vérité, l'insecte se retourne vers lui et Ozie. L’automate échoue à trouver un moyen de se relier au canon. Le monstre attaque La Vérité qui encaisse avec dégâts. Ce dernier répond en faisant un trou dans le telson de l’abdomen de la mante. Ozie met en relative sécurité le canon et court porter secours à son camarade pilote. Mais Aymeric se prend un nouveau coup de pattes de l’insecte et il tombe inanimé. L'automate saute sur le dos de la créature et s’y accroche puis il tente de lui arracher la tête mais le cou résiste. Elle tente de l’éjecter mais échoue. Il cherche encore à l’étêter en vain.

Soudain, la camionnette d’Albert surgit, Félix en sort précipitamment puis le premier soldat de France fonce avec le véhicule sur la bête. Ozie s’attaque à un œil mais un coup de patte l'envoie bouler. Il chute de 15 mètres et ne se relève pas.


Le Pharaon blanc aide, grâce à ses pouvoirs, la propulsion du bolide aux
mains d’Albert Roche qui pénètre directement l’abdomen du monstre. La mante s'écroule miraculeusement sans écraser personne ni détruire une partie du château.

Félix se précipite ver l’arrière de la camionnette alors qu’Albert sort indemne et se précipite vers ses camarades tombés au combat. Il secourt Aymeric de Saint Sernin, lui applique les premiers soins. Le pilote est stabilisé.

A l’arrière de la camionnette, l’abdomen de la fourmi a crevé révélant une poche avec à l’intérieur une femme mais ressemblant  à un fœtus de la taille d’un enfant de 8-10 ans. L’être respire contrairement au savant qui git sous la fourmi en se vidant de son sang. Le Pharaon blanc cède sa place à Félix qui tente de sauver le scientifique dément.

Quant à Ozie, il ne se relève pas et semble totalement hors service.

Vimon Herbert est interné à Saint Anne dans la chambre jaune.

La police arrive ainsi que le C.I.D. qui embarque les blessés, le fœtus, Ozie et De Saint Sernin.

samedi 27 avril 2024

La Brigade Chimérique - L’Escadron Étrange

L’équipe quitte la Sorbonne et finit la soirée chez Ozie. Ils parlent de l’affaire et se mettent d’accord sur le nom de leur toute nouvelle formation :


Le lendemain : 5 Août 1934

Alors qu’Albert retourne à la Sorbonne, Félix et Ozie se réunissent chez Aymeric afin que l’automate copie le visage du faux bricoleur sous la « dictée » du pharaon moderne.

Les 3 compagnons rejoignent Albert à la faculté. Ils se rendent auprès du professeur, Aymeric espérant retrouver Jessica Jane. Le docte savant est en train de nourrir tendrement ses animaux de compagnie.

Le professeur tique un peu en voyant le visage de l'autonate qui ressemble à peu près au malandrin qui l’a assommé. Il évoque la piste d’un ancien assistant, Herbert Vimon, qui fut remercié pour avoir disséqué une blatte géante sans permission. Le dit Herbert à une formation de biologiste, spécialisé dans les greffes.

Aymeric passe Jessica au grill de ses questions et lui glisse ses coordonnées.

Les héros se renseignent auprès de l’administration pour connaître l’adresse du sieur Vimon. Il habite dans le quartier de Montmartre.

En route en transport en commun jusqu’à l’adresse très cossue de Vimon, ce qui semble étrange. La concierge les accueille et leur apprend qu’il est parti depuis 2 mois et que sa femme, Anne Vimon-Juliour, est morte il y a 6 mois. Elle leur indique la poste la plus proche afin de vérifier si l’assistant aurait fait un suivi de courrier. À la poste, il a une boîte de poste restante qui n’a été vidée qu’une seule fois en 2 mois. Un fois ouverte, elle ne révèle que 2 prospectus scientifiques.

Ozie se souvient d’avoir entendu le nom de Joliour au C..I.D. et Félix se rappelle précisément qu’il s’agissait d’une scientifique travaillant à l’Institut du Radium.

Direction l’Institut rue d’Ulme. Quand tout à coup la vitrine de la banque Rotchild  explose et s'en échappent 3 brigands montrant des caractéristiques insectoïdes et de sacs en toile de jute. Ils se précipitent dans une camionnette noire garée non loin. L’Escadron de l’Étrange se focalise sur le véhicule, Aymeric lui tirant dessus avec son Raygun et les autres  fonçant sur l’engin.

Albert électrifie deux fois la camionnette qui rend l’âme en éjectant ses occupants : un homme avec des cuisses de sauterelles, un homme mouche qui prend son envol et se dirige vers les héros, et le dernier disposant d’excroissances chitineuses sur les avant bras.

Aymeric troue le cafard de son arme laser. Albert grille la mouche avec un arc électrique. Ozie utilise son art martial indien, le Kalarippayatt, pour asséner un énorme coup de poing dans son plexus solaire de l'homme-sauterelle ce qui le met dans un état grave de mort imminente. Il tente de résister mais l'automate le soumet à terre.

Félix sous sa forme de Pharaon Blanc va inspecter la camionnette et trouve des trace d’humeurs aqueuses de type lymphe sur les sièges. Du coup, les autres bitent rien à ce qu’il raconte vu qu'il s'exprime en ancien égyptien. Grâce à sa métempsychose, il remonte l’itinéraire de la camionnette jusqu’au quartier de Versailles et un manoir.

La police arrive. Elle prête des menottes pour immobiliser l’homme-sauterelle toujours maintenu à terre par Ozie. Le malandrin reste mutique, une expression fanatique au fond de l’œil.

Félix recommence à parler de façon intelligible. Son alter-égo égyptien a retracé le parcours de la camionnette jusqu’à son point d’origine.

Le gredin porte un tatouage représentant un coq sur fond de soleil noir avec à ses pattes un marteau et une faucille entourés, d’une maxime : La France aux français.

L’inspecteur arrive et nous demande de passer ultérieurement au commissariat pour remettre notre déposition. Ozie lui demande de contacter le C.I.D. au sujet de cet individu.

L’équipe part en transport en commun direction Versailles, à la recherche de la maison dont Aménophis 3 a révélé la vision à Félix.

Il s’agit d’une petite résidence dans un grand parc. Ozie saute la grille avec aisance, ses comparses attendant son rapport de première inspection.

A suivre



samedi 30 mars 2024

La Brigade Chimérique - Macrocosmos à Paris


Des cris. Un grand fracas de moellons et une fumée s’élève du côté de la Sorbonne. Le mur de la célèbre faculté a explosé. 3 énormes insectes (fourmi, scarabée, libellule)s'en échappent.


L’équipe se répartit les tâches.

Le scarabée qui a logiquement ouvert la brèche dans le mur de la faculté, fonce à présent vers un bus. Ozie heurte le scarabée afin de le dévier de sa trajectoire. Albert Roche attrape au grappin la fourmi et lui entrave les pattes. La fourmi crache de l’acide et coupe le fil. Son acide formique commence à faire fondre les pavés.

Le scarabée se plante dans un mur puis cible des passants au loin.

La libellule volette de façon erratique tout en coupant les fils électriques qui tombent au sol dans des éclairs.


La Vérité blaste la Demoiselle avec son arme au Radium. Elle fait demi-tour et revient vers lui.

Ozie saute sur le dos du scarabée. Albert électrifie la fourmi qui s’en fout et crache sur un immeuble qui commence à se liquéfier.

Le Pharaon blanc tripote son collier égyptien, entonne quelques paroles en langue étrange et fait voler des gravats à la gueule du scarabée qui s’en cague.

La Vérité tire encore sur la libellule qui chute au sol.


Ozie tente de conduire la bête.

Des éclairs entoure Albert qui se rue vers la fourmi. La Vérité tire sur l'insecte qui lui rit au nez.

Au même moment, la libellule se relève et charge La Vérité qui se la prend plein face. D'un coup d'épaule, le scarabée envoie bouler Ozie qui se retrouve sur le pavé. Il arrache une bâche à un estaminet proche et tente d’aveugler l’animal avec, mais elle finit vaguement sur le rostre.

Albert plante un coup de poing à la fourmi. Le pharaon blanc utilise une branche, qu’il avait mentalement arraché, pour renverser le scarabée sur le dos. Ozie en profite pour lui lier les pattes.

La Vérité blesse à nouveau la libellule qui va pas bien.

L’immeuble acidifié par la fourmi risque de s’écrouler. La Vérité et Ozie s’active pour évacuer les gens qui badent aux fenêtres.


Albert cherche à électrifier la fourmi qui n’en a toujours cure. Le Pharaon essaie par télékinésie de l'entraver avec un fil électrique mais échoue. L'insecte vomit de l’acide en direction d’Albert sans plus de résultat.

La Vérité cherche à venir en renfort, il l'immobilise alors qu’Albert la trucide. Ozie exhorte les habitants à sortir de l’immeuble et le Pharaon Blanc de le consolider. Mais ce dernier regarde les lézardes s’agrandir puis il décide d'écarter les moellons qui tombent grâce à ses pouvoirs.

La Vérité achève la libellule qui tentait de s’échapper en douce.

Ozie ressort de la bâtisse avec le dernier couple de locataire.

La foule des badauds parisiens applaudit les héros du jour, y compris Ozie, après un moment de flottement inquiet.

Car la proposition de loi, menée par un député de la droite dure , visant à faire des automates sentient des citoyens à part entière, est une source de nombreuses discussions passionnées en ce moment. Et c'est ce qui avait d'ailleurs réuni, ce jour, nos 4 surhommes dans ce café, non loin de la Sorbonne car Ozie souhaitait avoir l'avis de ses collègues sur la question.

Retour à la Sorbonne où un trou s’enfonce à travers plusieurs murs de la vénérable université. Nos 4 surhommes y trouvent Mlle Jessica Jane et le Professeur Blofeld Simon, entomologiste, dont le crâne est orné d’un bel œuf.

Au fond de son laboratoire, une chambre forte blindée où il gardait les trois insectes. Il nous conte qu’il s’est fait agresser par 3 malandrins qui lui ont volé son « entomo-aggrandisseur ».


Les gredins avaient l’air bien informé car la chambre forte n’était pas facile à ouvrir. Puis tout à coup, il s’inquiète de ses insectes et veut voir sans délai « son scarabée ».

Félix lui demande la clef du coffre, il tripote à nouveau son collier égyptien, se concentre et… voit un agent de maintenance, muni d’une trousse à outil. Celui-ci tourne la clef d’une façon complexe dans la porte qui s’ouvre sur les 3 animaux assoupis. Le voleur parle à quelqu’un hors champ et se précipite vers une machine aux allures de canon.

Pendant ce temps, Ozie, Albert et La Vérité accompagnent le professeur dans la rue. Lorsqu'il aperçoit "son bébé", il se précipite vers lui, le cajole et nous demande de l’aider à le reconduire vers son dortoir.

Nous posons quelques questions à l’homme de sciences afin de savoir d’où viendrait la fuite. Félix semble vouloir communiquer mais il parle dans un jargon incompréhensible. Il se remet à se tripoter le scarabée.

Alors qu’Albert radiographie le laboratoire grâce à son pouvoir électrique, Ozie s’en va rencontrer l’administration de la Sorbonne. Aymeric s’occupe avec une attention soutenue de Mlle Jessica Jane.

Les faux bricoleurs ont emporté la machine dans une camionnette noire. La Vérité investigue et trouve une trousse à outils, toute neuve, jetée sous une table du laboratoire.

À SUIVRE

samedi 10 février 2024

Shadowrun (into the odd system) - Bleach in the bayou

Je vais acheter du matériel d’électronique. Je bricole un système de mise à feu à distance pour les feux d’artifice.

Bal de limousines, drones, hélicoptères qui amènent les VIP sur le Nguyen.

Deux drones volants + deux drones sous-marin tournent autour du bateau.

Nous allons nous poster au abord du Blind Lagoon avec notre hovercraft.

Arrivée 21h, à tombée de la nuit.

Bleach in the bayou

Y a du mouvement dans le bayou. Y compris une lumière verte qui semble être un feu follet. Or je sais que les feux follets sont soit indépendants soit liés à un magicien vaudou.

On voit arriver au loin le bateau mais simultanément se fait un bruit de cavalcade, genre charge de bisons, qui fait vibrer l’eau et provenant de l’autre côté du lagon. (?) C’est une para-créature nommée un Béhémoth...

Je hacke les drones et boucle leur détection.

Je tente de prendre le contrôle de la caméra arrière mais je rate et je me fais repérer. Je décide avec mes compadres de hacker tout le système en pénétrant dans la glace noire et de le mettre en panne et tant pis pour la discrétion.


Les collègues montent sur le bastingage. Je place les feux d’artifices à tribord arrière et fais le tour du bateau pour me placer à bâbord.

Bleach et Ruckus se font repérer par un garde. Bleach me lance le mot de code « Feux d’artifice ».

Bleach court vers le garde en criant « Au secours !, Il y a une bombe à l’arrière.»

Je déclenche les feux d’artifices. Le garde fixe Ruckus de son arme qui lui saute dessus de toute la puissance de ses jambes hydrauliques.

Bleach en profite pour entrer dans le casino mais Viviane n’est pas là.

Pendant que Ruckus percute les gardes à coup de coude, les autres gardes s’activent et certains  se dirigent vers l’armurerie. Bleach leur emboîte le pas.

Les drones sont à présent contrôlés par un opérateur. Je tente de verrouiller l’armurerie. Ruckus se démène entre gardes et drones.

Je rate ma passe et je me fais complètement éjecter du serveur et je n’ai donc la main sur plus rien. Y compris les drones aquatiques.

Ruckus qui est monté au pont 2, repère Viviane qui mangeait tranquillement dans le restaurant. Il rentre en explosant la baie vitrée, un drone toujours au cul.

Bleach continue de suivre les gardes vers l’armurerie et décide de descendre les forces de l’ordre. Elle se prend un retour de flamme et tombe inconsciente.

Je reprends le contrôle des drones. Je suis les pérégrinations de Ruckus et bute un des gardes avec le drone.

La chef des gardes se pointe avec un fusil, menaçant Ruckus. Je la shoote.

Ruckus saute avec son otage du bateau. Je me déconnecte et reprends le pilotage du bateau.

Le bateau éclaire le bâbord et je me prends une bastos et sombre dans l’inconscience. Ruckus arrive à récupérer l’hovercraft qui se rapprochait et prend la direction des opérations.

Alors qu’il pilote, sa prisonnière reçoit un holo-message sur son com-link. C’est le capitaine Nara Lily, responsable de Vivian Millet, qui engueule Ruckus et menace d’exécuter Bleach s'il ne rend pas Vivian. Ruckus en a rien à foutre et contacte notre Johnson tout en se dirigeant vers les entrepôts.

Ce dernier sera au rendez-vous avec un soignant pour ma paume indifférent aux propositions pécuniaires et autres marchandage proposé par Mme Millet.

Ruckus arrive au lieu d’échange et confie la kidnappée à son kidnappeur. S’ensuit un léger briefing sur la mission et des soins à 5 000 ny. Puis, il prend congé.

Un chirurgien (un vrai arrive !) et me raffistole comme un chef.

Gain de la mission (part de Bleach incluse) : 10 000 ny pour moi et 15 000 ny pour mon camarade Troll.

Fin