jeudi 29 août 2024

La Brigade Chimérique - Voyage en d'Étranges Abysses

Aymeric de Saint Sernin et Albert Roche embarque dans le Pélican de l’Institut du Radium tandis que Félix Dufaux et François de Vaucanson (Ozie) montent à bord du Victoria du C.I.D.




Dans le Pelican se trouvent les frères jumeaux Luissier (Georges et Louis), Jessica Jones et Émile Lagarde, créateur du Pélican.

Le Havre. Soleil couchant avec le Pélican barbotant sur ses flotteurs. Jessica fait ses au revoir à Aymeric.

Voyage en train pour Ozie, Félix et M. Guy. En gare du Havre nous retrouve un journaliste, Martin Duval, qui nous conduit au Victoria, un bathyscaphe en verre pour la plus grande part de sa structure, avec 2 bras articulés.

Le Pélican a une journée d’avance par rapport au Victoria.

Le Pélican suit la topologie du fond océanique, Émile voulant tester les capacités de son engin. Albert Roche est inquiet alors qu’Aymeric satisfait sa curiosité auprès de l’inventeur. Soudain, le fond de l’océan se met en mouvement et des cailloux chutent et bloque le Pélican. Un raie du lumière perce l’obscurité aquatique et la silhouette d’un sous-marin anguleux apparaît. Des ondes mystérieuses s’en échappent, le Pélican vibre et surtout, les gros rochers se soulèvent. Le sous-marin se pose en surplomb sur les bords du canyon. Le Pélican finit d’être dégagé et le sous-marin les prend en remorque sans enclencher un moteur. À l’intérieur du Pélican, les parois semblent magnétisés et les cadrans fous. Au bout d’une heure, tout redevient normal, les ondes éthériques cessent et le mystérieux sous-marin s’éloigne. Ainsi, ils ont gagné quelques heures d’avance.

Une autre série de canyon et l’Émile décide de raser le haut de la faille afin d’en étudier le fond. Quand tout à coup, une baudroie abyssale gigantesque remonte vers le Pélican. Un des Luissier s’écrit « une grotte » et Émile est tenté de s’y réfugier. Conseillé par Aymeric, le sous-marin volant se dirige vers l’eau libre. Ils effectuent alors un drift à 180° afin qu’Albert utilise une torpille. La baudroie est touchée et s’enfuit.

Pendant ce temps… dans le Victoria, Fernand Favre et Adolf Bedin, les mécanos de l’équipe s’affairent alors que Martin Duval prend des photos et tape la discute avec Félix. Soudain, un petit choc extérieur et les moteurs commencent à ralentir jusqu’à s’arrêter. Une vieille mine les a heurtés et maintenant y a une fuite dans l’engin. Félix se précipite pour aider Bedin à boucher le trou.

À l’intérieur du Pélican, un bruit dans la salle des moteurs et une perte de vitesse brutale. Les techniciens discutent de la courroie qui a lâché et cela demande de remonter à la surface pour pouvoir réparer. Un fois à nouveau sous l’eau, ils croisent un cachalot et son petit poursuivit par un mégalodon. Albert propose de les ignorer.

A bord du Victoria, M. Guy décide de passer par un canyon pour éviter un masse d’algues. Un éboulis bloque leur engin quand un sous-marin étrange et étranger vient les dégager grâce à de mystérieuses ondes qui parviennent même à ouvrir les algues sur son passage. Ozie tente de contacter le vaisseau mais ne reçoit qu'une brève réponse dans une langue incompréhensible, et non pas par la radio mais directement dans ses oreilles.

Le Pélican repère des lumières dans les abysses. Émile descend vers un fond de lumières jaunes, phosphorescentes et mouvantes éclairant un dédale maçonné. Contre l’avis d’Albert, le Pélican poursuit sa descente vers des algues lumineuses flottant mollement et des parois d’où s’ouvrent des habitations troglodytes. Malheureusement la largeur du canyon s’est rétrécie et Émile doit prendre du temps pour chercher un autre passage moins dangereux. Le scientifique finit par trouver une sortie.

Un signal apparaît sur le sonar du Victoria. Quelque choseroule sur le fond. Le sous-marin plonge pour aller voir. Sur un plaine roule un tank sur chenille avec deux coupoles en verre lorsque soudain une énorme anémone capture le sous-marin du C.I.D..

Le Pélican débouche sur une vaste étendue plate pour découvrir le Victoria aux prises avec une anémone de mer gargantuesque. Albert décide de dégommer le pied de l’animal à l’instant même où Ozie ordonne le tir d’une torpille dans son bec. Malheureusement les filaments de l’actinide se sont resserrés autour de l’engin du C.I.D. et dérive avec les restes de la bestiole.

4ème jour de voyage. Plus qu’un jour avant d’arriver sur zone. Sur le sonar du Pélican, un écho ! Émile ne peut, une nouvelle fois, résister  sa curiosité. Une base sous-marine semblant un oursin tout aplatit entourée de barrière. Derrière les hublots des ombres transparaissent. Alors qu’Albert impose à un Émile dont la curiosité pour ce nouveau mystère est à son apogée de continuer son chemin vers la météorite. Mais un courant violacée et lumineux emporte le Pélican comme sur une mer de nuage. À l’intérieur de cette nuée sous-marine est projeté des images fantomatiques d’humains, de sous-marins en combat, de bateaux et à l’intérieur du Pélican apparaît l’image violacée d’une femme aux mains palmées lancée dans un discours, ainsi qu’un sous-marinier apeuré… L’engin profite du courant pour gagner de la vitesse. Au bout d’une heure à peu près, le volume du courant nuageux violacé diminue et relâche l’appareil qui se retrouve ainsi proche du point de chute de l’aérolithe.

Le Victoria croise une pieuvre poursuivit par un mégalodon. Ozie convainc M. Guy d’intervenir. Une torpille touche le mégalodon qui lâche l’affaire alors que la pieuvre enserre le Victoria et l’amène de façon accéléré vers la zone de la météorite.

Au même moment le Pélican arrive sur site pour découvrir une ville sous-marine en bordure d’une fosse océanique où trône en son centre, sur un piédestal mécanique, la mystérieuse météorite. La ville est protégée d’un dôme où règne une atmosphère et où se déplace une population d’hommes (femmes) poissons. Albert repère parmi les Ichtiens quelques humains. Les aventuriers de l’Étrange s’approchent, les habitants les repèrent et leur font signent de stopper. Émile s’exécute alors qu’un habitant nage à leur rencontre et leur fait signe de se poser sur le fond. Une fois posé, le mérien leur fait des signes, Aymeric, Émile et Louis enfilent des scaphandres (sauf Albert qui n’en a pas besoin) et sortent de l’appareil. La créature leur fait comprendre de le suivre. Ils se dirigent vers la ville, pénètre la bulle, la pression change et ils peuvent enlever leur équipement. Le mérien leur dit « Bienvenue à Bojador ! ».


À suivre

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