samedi 23 novembre 2024

La Brigade Chimérique (Icons system) - Piège en d'étranges cieux

Prologue

Jessica Jane, fiancée d'Aymeric de Saint Sernin alias la Vérité et membre émérite de l'Escadron Étrange, a disparu. Elle s'est embarquée au côté d'autres surhommes du Club de La Camomille au Radium dans la recherche et la récupération de l’Œil de Xorn et du portail vers Mars tombés au main des allemand stationnant dans leur Zeppelin Noir au dessus de Paris. Leur dernière position connue est un gymnase, 23 avenue de Clichy, dans les Batignolles. La Vérité appelle au rassemblement ses camarades et voilà l'Escadron Étrange devant la porte de la salle de sport.


Aymeric ne semble pas inquiet. Plutôt boudeur. Les surhommes s'échangent des informations car 
Félix, Aymeric et Albert ont fait le même rêve avec la lune noire et c’est angoissant.

Ils se présentent au gardien gymnase et Aymeric en bon romancier joue sur leur nouvelle célébrité. Dans la salle quelques joueurs s'adonnent à la pelote basque. Aymeric va discuter avec eux espérant pêcher des informations.

Profitant que les occupants sont occupés, Ozie s'en va fouiller une salle à l'arrière, rapidement rejoint par Aymeric. Mais rien d'intéressant de ce côté là.

Par contre Albert et Félix vont investiguer vers les casiers dans les vestiaires hommes. Deux bourgeois finissent de se changer et leur confirme que Messonier y avait un casier, le numéro 23. Or justement Félix Dufaut remarque que ce casier a le cadenas qui git par terre. Fut-il forcé ? Félix manipule son scarabée et la personnalité du Pharaon Blanc remplace la sienne. Il touche le casier puis le cadenas et le pouvoir de psychokinésie de l'ancien pharaon lui révèle des images passées. Visions de Messonier accompagné probablement des membres de la Camomille au Radium, un mécanisme au fond du casier actionnant un pan caché ouvrant sur un escalier. 

Félix place sa main en haut à gauche au fond du casier. Il s'engage dans l'escalier qui descend, suivit de ses collègues. Ils débouchent dans un pièce rappelant le style d'une station de métro. Dans ce repaire ils découvrent des cartes, des étagères contenant plusieurs uniformes différents (ouvrier, postier...) et surtout des sangles servant à suspendre 4 Jetpacks. Les plans sont ceux de Paris avec 3 points d’envol possibles vers le Zeppelin Noir ainsi qu'un plan technique d’un zeppelin avec éléments notés en rouge indiquant la trappe d’accès sous le ventre ainsi qu'une partie blindée cachée à l’arrière.


Ils ressortent en emportant les 4 Jetpacks et la notice d'utilisation jusqu'au hangar d'Aymeric. Ils passent quelques heures à s'entraîner au pilotage avec des succès variables et une heure de carburant consommé. Aymeric ayant pris l'ampleur de la situation est résolument inquiet pour le sort de sa bien-aimée aux mains honnis des allemands lubriques.

Ils décident alors de partir à l'abordage du zeppelin à l'un des points marqués dans Paris. La Vérité et Le Premier Soldat de France décollent et suivent une trajectoire parfaite. Ozie suit avec plus de difficulté mais Félix, quant à lui, zigzague et dévie de telle façon qu'il va vraisemblablement rater l'immense zeppelin.


Alors qu'ils s'approchent, ils découvrent effarés que le ballon est en fait entièrement métallique et recouvert d’une toile pour camoufler ce fait. Ozie et Albert ouvrent la trappe ventrale alors qu'Aymeric rejoint Félix qui galère, afin de l'aider. Malheureusement le vol de Félix est trop erratique et manque de faire chuter les deux aventuriers. Finalement, Félix arrive à corriger sa trajectoire mais son médaillon est arraché et chute vers les rues de la capitale.

A l’intérieur du Zeppelin se trouvent des caisses de matériel de réparation ou de nourriture.

Un couloir contiguë longe cette pièce avec un garde effectuant des rondes. Albert surgit et électrocute la sentinelle mais un autre garde était en poste au bout du couloir.

Aymeric lui tire dessus au raygun. Ozie se rue vers l’allemand blessé qui s'affaisse sur le volant de la porte métallique fermant le couloir et le neutralise. Cette écoutille semble d'un métal différent. De chaque côté du couloir une échelle permet de monter à l’étage.

La Vérité ouvre l'écoutille blindée et découvre derrière une stargate et deux personnes couchées à même le sol.

Ozie entre à son tour. Des câbles courent sur le sol.

Des renforts allemands potentiels se font entendre à l'étage. Albert  et Félix délestent de leur mitraillette les gardes teutons inconscients.

La Vérité découvrent au sol Messonnier et Charpentier, ligotés alors qu'Ozie cherche l'Œil de Xorn. Albert plombe le cul des soldats allemands qui tentent de descendre à l'échelle pendant que Félix essaie de maîtriser au mieux le recul de son arme. Les deux résistant reculent dans la pièce blindée afin de rejoindre leurs amis.

Soudain une onde vibratoire envahit le zeppelin et une grosse fatigue s'empare des héros sauf Félix qui ne ressent qu'un picotement.

Ozie se rapproche d'une sorte de tableau de commande, trouve connecté dessus l’œil de Xorn et l'arrache sous les cris de mise en garde de Charpentier.

Soudain quelqu'un ferme brutalement la porte laissant l'Escadron Étrange enfermé et de plus en plus harassé sauf Félix.

Un voix teutonne leur lance un ultimatum se vantant de l'efficacité de sa technologie anti-plasme qui ne leur laisse aucune chance. Les voilà donc prisonniers de l'ennemi qui entre et dont les soldats n'ont pas l'air d'en mener large à la vue d'Albert Roche. S'ensuit des discutions entre interrogatoire et auto-félicitation du commandant fridolin au monocle. 

Menacé, Charpentier répare la porte de Xorn puis les soldats exécutent Messonier.

Enfin, le commandant ordonne aux héros et à Charpentier de franchir le portail menant à Mars poussés par des soldats fébriles quant il s'agit du Premier Soldat de France..

Jessica Jane habilement
déguisée en Honoré Judor
Aymeric comprenant que sa fiancée a probablement subit le même sort passe le premier suivit sans hésitation par Ozie et Félix plus circonspect. Au moment de franchir la surface verticale liquide, Albert se retourne et invective ses ennemis naturels soudain pas rassurés. Il reviendra, ça va chier et ils peuvent d'ores et déjà commencer à creuser leur tombe.

Soudain le noir, des sons comme dans une caverne et une voix familière différente pour chacun d'eux arrivant directement dans leur tête.

Xorn mère des Erloors leur demande de l'aide en échange de leur retour sur Terre.

À suivre

samedi 9 novembre 2024

La Brigade Chimérique (Icons system) - L’Escadron Étrange contre Mabuse

Albert Roche s’approche d’un ennemi décédé et lui confisque son harpon à répétition alors que la radio intégrée à sa combinaison crache des ordres en allemand. Albert est énervé.



Aymeric se dirige vers le palais de la reine, au milieu d’un chaos de civils éplorés. Soudain il est pris dans un feu croisé venant d'on ne sait où ! Blessé et il tombe au sol.

Albert se dirige vers les coups de feu suivit de Félix.

La Vérité, encore conscient malgré sa blessure, repère un fridolin, tire à l’instinct et le touche alors que ses deux camarades le rejoignent.

Dans le Pélican qui a démarré, Ozie calcule un cap afin de surprendre le sous-marin stationné au-dessus de la cité puis ordonne aux frères Luissier de charger les tubes lance-torpilles.

Grâce à sa vision thermographique le Premier Soldat de France repère les fritz qui s’égaillent.

Alors que le Pélican se met en position d’attaque, un rayon fulgurant part du ventre du vaisseau ennemi vers la météorite, ainsi qu’une étrange sphère de 2 m de diamètre environ faisant penser à Ozie à une créature repliée sur elle-même.

Sous l'action du rayon la météorite semble s'élever et quitter son socle.


Aymeric rejoint la reine accompagnée de Théo Sérém qui vient de retirer le casque d’un schleu lardé de harpons.

Le Pélican fait feu sur le cul de l’adversaire et met dans le mille. L’appareil gite et perd de l’huile.

Dans la cité, des gouttes tombent sur les habitants, le dôme commence à prendre l’eau.

Le Pharaon Blanc indique une direction après avoir repéré des clapotis intriguant sur le sol. Il part dans une direction suivit par ses camarades. Ils repèrent au limite du champ énergétique des ennemis en tenue de camouflage, les rendant presque invisibles. Albert utilise sa mitraille-harpon et cloue l’un d’eux. Malgré tout, les 4 bochs franchissent la bulle et s’enfuient sur le fond des mers, le blessé traînant la patte.

Théo traduit à Aymeric les ordres vociférés par la radio allemande. Arrivé sur la place de la météorite, c’est l'échauffourée. Des bojarodiens blessés, la météorite ne repose plus sur le piédestal mais est en lévitation au dessus. Devant le piédestal, un colosse germanique dont l’un des bras est remplacé par une énorme pince de crabe. La Vérité lui tire dessus. Le teuton interpose sa pince et le rayon ricoche.

Ozie fait tirer à nouveau sur le navire portant les infames insignes du Dr Mabuse, le Sleipnir, qui a commencé à remonter. À nouveau le coup fait mouche.

Sous l’invective du Premier Soldant de France, Le Pharaon Blanc utilise sa télékinésie pour retirer le casque du fuyard blessé.

Aymeric, sur la place, continue à batailler contre le Krabmeister qui bondit vers lui pince en avant, percute le héros de l’Étrange Escadron qui faiblit, étourdit.

Le Pharaon fait revenir le casque vers Albert et alors que le commando allemand se noie non loin, le héros français commence à chanter à tue tête, dans la radio ennemi, La Marseillaise.

Le Krabmeister cogne durement sur La Vérité qui sombre dans l’inconscience.

Dans le Pélican, Ozie prend le temps d'ajuster la visée. Le tir touche un ballast comme le désirait l’automate et le Sleipnir glisse sur le côté en sombrant.

Le Krabmeister commence l’ascension du piédestal et donne des coups dans la machinerie qu'il contient.

Albert et Félix fonce vers la place.

Ozie tire la dernière torpille qui coupe le navire ennemi en deux.

Tandis que le crustacé teutonique continue sont travail de sape et que la météorite continue son ascension, Ozie demande à Lagarde de se mettre à l’abri et aux frères Luissier de lui ouvrir le sas. Ozie saute vers le météore.

Albert rejoint la place où des bouts de rouage chutent sous l’action du colosse allemand. La météorite branle et l’eau commence à se déverser sur la cité. Le crabe humain invective le Premier Soldat de France qui répond silencieusement par un éclair qui se dissipe sur la pince de l’adversaire. Son camarade possédé par un esprit égyptien balance un moellon sur le colosse allemand mais ce dernier semble inamovible.

Ozie s’oriente, franchit la bulle, chute sur l'astéroïde sans dégât.

Le Krabmeister poursuit la destruction massive de la mécanique contenue dans le piédestal.

Albert lance son grappin et entrave le schleu dans une tentative de le faire choir. Ozie ayant visualisé la scène se déroulant sous lui, saute pied en avant, sur la face du vilain alors que le Pharaon le mitraille de moellons et qu’Albert Roche le tire au sol. L’ennemi chute de 6m alors qu’Ozie amortit la sienne sur le corps du géant. L'automate se relève et usant de son art martial indien, assomme définitivement l’adversaire.

Albert, après un moment de flottement face à l’absence d’allemand à combattre, demande au Pharaon Blanc d’user de son pouvoir pour abaisser la météorite alors qu’il lance à nouveau son grappin afin de se hisser sur la pierre.

Ozie va constater les dégâts sur la machinerie du piédestal et estime qu’il faudra plusieurs heures de réparation qu’ils n’ont pas.

Aymeric revient à la conscience, prend la mesure des événements, retrouve son appareil photo miraculeusement intact. Albert et Félix sont à bout de force. René Duchamp rejoint Ozie. Ils conçoivent d’allier leurs efforts afin de stabiliser au plus vite la mécanique bojadorienne.

Ozie concentre l’énergie de son cœur à Zéro Énergie, une lumière bleutée émane de ses articulations et de ses yeux alors qu’un vrombissement léger se fait entendre, il effectue avec l’expertise de Duchamp un travail d’une rapidité et d’une concentration surhumaine.

Les engrenages suffisamment remis en place, l’Escadron Étrange aide les autochtones à vider l’eau de la bulle. Puis ils se réunissent avec la reine et debrieffe au sujet du Krabmeister, du bojadorien albinos, sosie de l’ami du député d’extrème-droite.

La reine décide de livrer le Krabmeister aux abysses et leur demande de garder le secret de la cité. Elle leur confie l’ancienne météorite. Ozie décide avec Albert Roche d’aller inspecter les restes du Sleipnir dont le seul morceau n’étant pas tombé au fond de l’abîme porte effectivement les sceaux de Mabuse, mais rien n'est récupérable.

Avant leur départ, une fête est organisée au cours le laquelle, fait extrêmement rare, la reine offre un danse qui ravit et met en émoi sexuel l’ensemble de l’assemblée.

Le récit officiel pour le C.I.D (après quelques remarques acides adressées à ce ladre de M. Guy) : Le sous-marin de Mabuze a attaqué, lançant un étrange rayon sur la météorite ce qui a annulé la bulle. L’eau a écrasé la cité qui a sombré dans l’abîme avec l’essentiel de la météorite. L’Escadron Étrange a mis à bas les forces du Dr Mabuze et récupéré les restes du météore qui a pu subir une altération dû au fait du rayon de l’ennemi ?

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Retour à Paris

Alors qu’Aymeric rejoint ses pénates, il trouve le logis vide et le journal de Jessica Janes :

Entrée 1 - Mon tendre Aymeric,
Depuis ton départ, j'ai accepté une mission du C.I.D.
A ton contact, et aux récits de tes aventures, mon goût pour l'intrigue et l'aventure s'est enflammé. 
J'ai infiltré un club de surhommes aux résultats douteux, le Club de la Camomille au Radium, sous l'identité de Honoré Judor. Quelques maquillages et contraptions fournis par mon employeur ont donné le change. 
Le C.I.D. souhaite que j'infiltre le futur Congrès des Sciences Nouvelles pour évaluer les réelles motivations des différents intervenants.
Par ce journal, je te tiendrai informé de mes avancées.

  • Entrée 4 : J'abandonne la forme littéraire de mes notes.
Nous avons remonté la piste des voleurs du portail. Des vétérans de la Grande Guerre, les Coqs, tatoués d'un coq surmontant deux fusils croisés, qui s'ennuyaient sont devenus cambrioleurs de haut vol sous le nom des Requins du Ciel. 

Seul leur chef, André Messonier, a laissé une piste, les autres s'étant comme volatilisés. Nous le retrouvons et il avoue travailler pour le zeppelin noir qui survole Paris depuis quelques jours, aux ordres des Allemands. Il a trahi ses hommes et les a livrés aux Allemands en même temps que le portail et l'Œil de Xorn.

Dans le même temps, nous avons cherché à en savoir plus sur le Martien et l'Œil de Xorn en allant interroger Robert Darvel. Il nous a raconté l'essentiel de son périple martien, comme dans le livre-témoignage de Gustave Lerouge, ainsi que ses impressions. Après avoir détruit le Grand Cerveau qui asservissait les Pieuvres Invisibles, ces dernières ont sûrement relâché leur emprise sur les Erloors (l'espèce de notre Martien). Mais qu'ont fait ensuite les Erloors vis-à-vis des martiens qu'ils terrorisaient ? 
En tout cas, la Reine Xorn lui a donné un de ses yeux qui lui a permis de revenir sur Terre ; et il a donné cet œil à son grand ami Charpentier pour qu'il l'étudie.

Prochaine étape : nous allons infiltrer le zeppelin noir pour récupérer le portail et le professeur Charpentier grâce aux informations de Messonier. Il semble rongé de remords et nous a donné rdv dans le sous-sol d'un gymnase, 23 avenue de Clichy, dans les Batignolles. C'est là qu'ils ont leur repère et où ils disposent de plans et de contraptions utiles à l'infiltration.

Note à moi-même :
Pourquoi de plus en plus de personnes vivent des nuits agitées, avec le presque même cauchemar d'une éclipse et cette mention d'une "grande nuit qui vient" ?
Des pensionnaires de l'asile visité, des scientifiques de mon entourage et même quelques membres du Club de la Camomille au Radium.
A creuser.

Fin du feuilleton de la Brigade Chimérique :

L'Escadron Étrange et la météorite mystérieuse.

vendredi 1 novembre 2024

La Brigade Chimérique (Icons system) - Menace dans l’Étrange Cité

Les aventuriers pénètrent un bulle dans laquelle règne une atmosphère et sont conduits à travers les rues par le mérien. Ils croisent nombre d’êtres amphibies nus mais aussi quelques humains accoutrés de vêtements de diverses époques.



Ils sont conduits sur une place au milieu de laquelle trône un piédestal de 10 m sur 6, surmonté d’une colonne portant la météorite d’où semble émaner un fort champ magnétique. Se trouve également un temple ainsi qu’une gigantesque conque : le palais de Sargassim, reine de Bojador.

Elle les reçoit accompagnée d’un humain en blouse blanche élimée. Albert Roche et Aymeric de Saint Sernin se présentent et la reine qui leur avait parlé en anglais passe immédiatement au français. Sa majesté est torse nu avec une queue de poisson, image vivante de la femme-poisson et dégageant une sorte de charme érotique puissant qui met les aventuriers en émoi.

Les deux membres de l’Escadron Étrange indiquent la raison de leur venue ainsi que leurs inquiétudes quant aux Velléités des autres concurrents à la pêche à l’astéroïde.

La reine écoute attentivement mais avec clairement un manque de compréhension des raisonnements des terriens. René Deschamps, le scientifique humain qui l’accompagne, par contre, comprend de façon claire la situation. Il leur narre la façon dont, avec sa science et une chorale mystique de bojadoriens, il a pu repérer précisément l’astéroïde, le capturer dans l’espace et le ramener dans la cité. Ce dernier est vital pour Bojador puisqu’il assure la bulle protectrice alors que la météorite précédente montrait des signes d’affaiblissement certain. La bulle est vitale pour la respiration des humains ainsi que pour protéger la ville de menace de créatures des abysses.

L’entretien fini, un mérien les accompagne dans les quartiers qui leur ont été préparés.

Pendant ce temps, le Victoria enfin libéré de l’anémone géante arrive en vue de l’Étrange Cité sous-marine. M. Guy, Félix Dufaux et François de Vaucasson repèrent au loin l’inquiétante silhouette d’un submersible. Ozie demande alors au responsable du C.I.D. de le laisser avec Félix, équipé d’un scaphandre, aux abords de la ville pendant qu’il surveillera l’approche du nouveau venu.

Les deux compères franchissent la bulle sous le regard étonné des habitants, notamment surpris par l’apparence de l’automate. Ils s’approchent d’un mérien qui accepte de les conduire à la dirigeante.

Ils la rencontrent en présence de deux groupes. L’un humain dirigé par un marin portant dans le dos un harpon à répétition, Théo Sérem. L’autre composé de bojadoriens habillés, menés par un mérien albinos dont le faciès rappelle étrangement à Ozie l’ami du député d’extrème-droite qui proposait un loi sur les êtres artificiels sentients.

Prévenu, Aymeric de Saint Sernin et Albert Roche les rejoignent. Les retrouvailles sont de courte durée car une explosion proche secoue le palais-conque. Sortant précipitamment, ils découvrent un sous-marin arborant le crâne de Mabuze stationné au zénith de la ville et du météore et qui a vraisemblablement tiré des torpilles sur le temple qui se trouvait sur la place.

Du navire descendent des scaphandriers portant le logo du crâne qui pénètrent la bulle au bout de filins. Félix laisse sa place au Pharaon Blanc grâce à la magie de son scarabée. Il rompt par télékinésie les câbles, malheureusement les soldats allemands équipés de jets packs atterrissent dans les rues ou sur les toits.

Alors que Le Premier Soldat de France, la Vérité et le Pharaon Blanc commence la bataille à coup d’arc électrique, de rayon laser et de morceau de temple, Ozie file à une vitesse surhumaine vers le Pélican afin de coordonner une bataille subaquatique avec le Victoria contre le vaisseau ennemi.

Dans la ville, le combat fait rage, épaulé par Théo Sérem et son groupe mais gêné par les habitations et le labyrinthe des rues.

Arrivé à l’intérieur du submersible de l’institut du radium c’est la déconvenue car, contacté, M. Guy, visiblement dépassé par la situation, s’enfuit vers la surface à l’excuse de prendre de nouveaux ordres du Nyctalope.

À suivre