Appréciation : 🤩
Auteurs : Mark Millar / J.G. Jones
Éditeur : Panini comics 2008
L'histoire
:
Wesley Gibson est un gars minable avec un amour propre comparable à une serpillière. Mais un jour, le destin vient frapper à sa porte pour lui avouer que son père, le meilleur assassin du monde, est mort et lui lègue sa fortune à condition qu'il s'équipe d'une paire de couilles. Il déboule alors dans un univers où les supervilains sont maîtres du monde, après s'être regroupés dans les années 80 et avoir dessoudés tous les superslips. Mais l'entente cordiale entre raclures immorales de tous bords cache bien des pièges. Wesley s'en sortira-t-il mieux qu'au bureau ?
Wesley Gibson est un gars minable avec un amour propre comparable à une serpillière. Mais un jour, le destin vient frapper à sa porte pour lui avouer que son père, le meilleur assassin du monde, est mort et lui lègue sa fortune à condition qu'il s'équipe d'une paire de couilles. Il déboule alors dans un univers où les supervilains sont maîtres du monde, après s'être regroupés dans les années 80 et avoir dessoudés tous les superslips. Mais l'entente cordiale entre raclures immorales de tous bords cache bien des pièges. Wesley s'en sortira-t-il mieux qu'au bureau ?
J'avais vu le film "librement" tiré de cette histoire il y a
quelques années et les scénaristes hollywoodiens ont clairement fait de
la merde.
Ici, Mark Millar nous offre une histoire à 100 à l'heure dans un monde où les super criminels règnent, avec des clins d'œil permanents aux méchants ou héros des grandes licences du comics. Une cape rouge en lambeau dans une vitrine. Un vieil homosexuel et son amant suspendus au-dessus d'un bac d'acide... Bref c'est fun, les dessins de J.G. Jones sont excellents et collent à l'aventure. Et l'univers où les méchants ont gagnés est un pur plaisir. Et, peut-être, en filigrane, la question du pouvoir et du libre arbitre. 151 pages de divertissement assuré.
Ici, Mark Millar nous offre une histoire à 100 à l'heure dans un monde où les super criminels règnent, avec des clins d'œil permanents aux méchants ou héros des grandes licences du comics. Une cape rouge en lambeau dans une vitrine. Un vieil homosexuel et son amant suspendus au-dessus d'un bac d'acide... Bref c'est fun, les dessins de J.G. Jones sont excellents et collent à l'aventure. Et l'univers où les méchants ont gagnés est un pur plaisir. Et, peut-être, en filigrane, la question du pouvoir et du libre arbitre. 151 pages de divertissement assuré.
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